Irezumi de Takagi au tapis

Publié le par Alexandre Anizy

            Pour les éditions Denoël, les poubelles feront-elles Noël ? 

 

 

            Il faudrait demander aux éditions Denoël ce qui les a poussés à fouiller les poubelles du polar japonais, hormis l'intérêt financier. En effet, pourquoi exhumer un livre au rythme poussif, et pour tout dire de facture scolaire comme Irezumi de Akimitsu Takagi ? Un exemple :

            « Si l'Irezumi, le tatouage traditionnel japonais, possède une beauté indéniable, peu en reconnaissent volontiers la valeur intrinsèque. La faute, sans doute, à des préjugés coriaces - par exemple, que le tatouage se résumerait à des gribouillis d'amateur grossièrement gravés, ou encore que ses porteurs, hommes ou femmes, ne seraient tous que des yakuzas et autres rebuts de la société. » (p.14/223)

Nous vous épargnons la leçon d'histoire du tatouage...

 

            Quant à nous, abandon à la page 78/223.

 

 

Alexandre Anizy

 

Publié dans Notes culturelles

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