Enrique Vila mi ha Matas (do)

Publié le par Alexandre Anizy

            Enrique Vila Matas ? 95 fois sur 100, on s'emmerde en le lisant.

 

 

            Nous admettons sans problème que cet auteur espagnol est un homme de génie, un romancier immortel, mais qu'on aille chercher du plaisir dans Mac et son contretemps (Christian Bourgois éditeur, 2017, en livrel), là où il n'y a que brio architectonique, plume acérée et culture encyclopédique, n'est que pure perversion intellectuelle !

 

            Alors, ayant passé l'âge des Blue whale challenges débiles, comme lire l'œuvre de Sartre en un mois ou mourir d'ennui jusqu'au point final de Mac et son contretemps, nous avons fermé le livrel à la page 66 et décidé de nous venger d'un désagréable moment en rédigeant ce billet assassin.

 

 

Alexandre Anizy

 

 

 

PS : Enrique Vila Matas est un paradoxe : lui qui a raillé ailleurs le travers français (chaque romancier a sa théorie du roman) se prostitue ici pour les dépasser dans la connerie.

Publié dans Notes culturelles

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