Connelly en béton
De temps en temps, il est agréable de picorer chez Michaël Connelly.
La vie est courte et le monde foisonnant, si bien qu'il est judicieux de ne pas suivre la production métronomique d'un stakhanoviste. Mais le dernier opus, Nuit sombre et sacrée (Calmann-Lévy, 2020, en livrel), qui rassemble Bosh et Ballard, incitait au détour. Aucune déception puisque l'auteur est un bon artisan.
Alexandre Anizy