Pelecanos libéré, mais nous ?
On sent que l'écrivain George Pelecanos se fait plaisir lorsqu'il commente un John Steinbeck (et d'autres), et par capillarité il touche le lecteur.
Le roman A peine libéré, qui vient de paraître (Calmann-Lévy, 2020, en livrel), vaut pour les digressions littéraires puisque l'architectonique est impeccable. Voilà un polar pour une plage qui ne serait pas "dynamique", mais est-ce possible ?
Alexandre Anizy