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Croissance, une embellie passagère

Publié le par Alexandre Anizy

La croissance est de retour au 3ème trimestre 2007 : + 0,7 %, selon l’INSEE. Comment expliquer cette embellie ?

C’est d’une part un effet de rattrapage par rapport au 2ème trimestre et d’autre part l’onde de choc de la crise américaine des « subprimes » ne s’est pas encore propagée.

 
Pour 2008, les indicateurs sont mauvais :

  • Baril de pétrole à 100 USD voire plus ;
  • L’euro continuera de s’apprécier (> 1,50 USD ?) ;
  • L’inflation déjà à 2 % augmentera puisque les matières premières seront toujours à la hausse ;
  • Avec les effets de la crise américaine des « subprimes », conjugués aux effets de la politique monétaire de la BCE (hausse des taux pour lutter contre l’inflation), les banques durciront leur accès au crédit à la consommation ;
  • Puisque le pouvoir d’achat des ménages diminuera, du fait de l’inflation et de la hausse insuffisante voire la stagnation des salaires, la consommation faiblira, toutes choses égales par ailleurs ;
  • La situation de l’emploi devrait se dégrader du fait de la baisse des marges des entreprises.

Ajouter à tout cela un ralentissement plus fort que prévu de la croissance américaine, vous obtenez une possibilité de scénario à 1 % de croissance en 2008.

 
Alexandre Anizy

Les bidouillages de l'INSEE

Publié le par Alexandre Anizy

Comme promis, l’INSEE a publié le 12 novembre les chiffres relatifs au chômage, après le gel décidé peu avant les élections présidentielles.
Comme prévu, l’INSEE est retombé sur ses pattes sans perdre la face.

Comment fait-on pour passer d’une révision à la hausse en mars à une stagnation du taux de chômage à 8,1 % pour le 2ème trimestre ?
Vous devinez la démarche, nous n’en doutons pas : le bidouillage.

3 changements méthodologiques ont été opérés :

  • L’alignement sur la définition stricte des chômeurs selon Eurostat, soit (0,7 point) ;
  • Relance des sondés permettant in fine de réévaluer à la baisse son estimation, soit (0,1 point) ;
  • Modification des méthodes de pondération de données et exclusion des personnes vivant en foyers, internats, hôpitaux, prisons, soit en tout (0,2 point).

Ainsi, contrairement à l’ANPE qui sortait des chiffres annonçant une baisse des demandeurs d’emploi dès 2005 dont le gouvernement de GALOUZEAU DE VILLEPIN se vantait mois après mois, le taux de chômage serait resté stable à 8,8 % de la population active en 2004, 2005 et 2006.

 

La révision à la hausse, bien que masquée, est de 1 point, selon le statisticien Thomas COURTROT.

Le chômage est donc au niveau de 2002.


Alexandre Anizy

BISMARCK l'essai de Jean-Paul BLED

Publié le par Alexandre Anizy

Au Salon du Livre du Touquet, Jean-Paul BLED a présenté son essai « BISMARCK, de la Prusse à l’Allemagne » (édition Alvik 2005, 250 pages, 18 €).

Le public était ravi par l’exposé du professeur, qui a su mettre en exergue l’importance et la complexité du junker Bismarck.

En conséquence, nous ne doutons pas de la qualité de son ouvrage, d’autant plus que nous connaissions un peu le sujet.

 
Ceux qui s’y intéressent pourront compléter par « Pensées et Souvenirs » d’Otto von BISMARCK, présentation de Joseph ROVAN (édition Calmann-Lévy 1984, 480 pages, 99 FRF).

 
Alexandre Anizy

Armes de Destruction Massive, Acte 2, l'Iran

Publié le par Alexandre Anizy

Dans leur propagande contre les Forces du Mal, tout le monde sait maintenant que les Etats-Unis n’ont reculé devant rien face à l’IRAK, en fournissant aux médias du monde entier (notamment ceux du milliardaire Rupert MURDOCH), à leurs alliés, etc., de soi-disant preuves concernant l’existence d’Armes de Destruction Massive (ADM) : tout était bidonné.

On sait aussi que le haut fonctionnaire américain qui a osé dire ce qu’il savait a vu sa femme (agent secret par ailleurs) dénoncée, livrée à la curée médiatique par l’entourage du Président BUSH

 
Avec l’IRAN, sur le plan diplomatique, les choses avancent plus facilement pour les Etats-Unis : en effet, qui s’oppose en Occident au durcissement des sanctions ? Mais il existe une petite épine qu’il va falloir réduire au silence ou bien disqualifier : le chef de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA) Mohammed ELBARADEI.

Car ce monsieur continue à faire son travail quand il affirme :
« Il y a toujours beaucoup de points d’interrogation. Mais avons-nous vu en Iran les éléments nucléaires qui peuvent être rapidement transformés en arme ? Non. Avons-nous vu un programme actif de militarisation du nucléaire ? Non. »
C’est gênant.

Alors au début de novembre, les amis israéliens de BUSH envoient la 1ère salve en demandant le renvoi de « l’empêcheur ».

Par exemple, Mr Aaron ABRAMOVITCH, Directeur Général du Ministère des Affaires étrangères, accuse Mr ELBARADEI de « saboter les efforts internationaux » qui veulent durcir les sanctions contre Téhéran. Par exemple, le Jerusalem Post accuse Mr ELBARADEI de « complicité » avec le programme d’arme nucléaire iranienne.    

Par exemple, le Général Yossi BAIDATZ, chef des Services de Renseignements militaires israéliens, affirment péremptoirement que « dans le pire des cas, l’IRAN accèdera à l’arme nucléaire d’ici à 2009, s’il n’est pas confronté à des difficultés ». Les preuves : aucune.
Il faut bien entendu croire sur parole le général israélien … comme d’aucuns ont cru (ou ont feint) aux dossiers des Services de Renseignements américains dans l’affaire irakienne.

 
L’encerclement de l’empêcheur ELBARADEI a porté ses fruits, puisque le rapport présenté par l’AIEA, bien qu’il relève des « progrès substantiels » de l’Iran dans sa coopération avec les inspecteurs nucléaires, constate qu’il est incapable de statuer sur la nature du nucléaire iranien, parce que la coopération iranienne est plus réactive que proactive.

L’affirmation de cette impuissance, du fait de l’Iran, permet aux Etats-Unis de demander de nouvelles sanctions économiques à l’encontre de l’Iran au Conseil de Sécurité.  
Où s’arrêteront-ils ?

Alexandre Anizy

La politique spectacle de ROYAL la madone Déate

Publié le par Alexandre Anizy

Vous vous souvenez du ministre de l’économie Thierry BRETON dans le fameux reportage (au Journal Télévisé de 20 h des grandes chaînes) où il faisait le plein d’éthanol pour une berline dans une station-service à Paris ? Vous n’ignorez pas, comme le Canard enchaîné le révélait quelques jours plus tard, que la pompe avait été spécialement installée pour le ministre … et qu’elle fut démontée dès le lendemain !

Sympathiques et compréhensives avec les ministres de l’économie, les sociétés pétrolières le sont : il n’y avait qu’à voir la bise de l’incompétent ministre LAGARDE au roi du pétrole français Mr Christophe JACQUIN DE MARGERIE (TOTAL) lors d’une opportune et médiatique rencontre, où la promesse d’un effort certain était faite pour lisser au mieux la hausse des prix à la pompe…

 
Marie-Ségolène ROYAL la madone Déate s’est rendue chez un médecin généraliste, avec les caméras de télévision. Dans le cabinet du médecin, en présence d’un patient, elle fustigeait l’instauration de la franchise médicale.

On apprenait dans l’Express du 15 novembre que le patient n’en était pas un. Plutôt un ami du médecin ayant répondu favorablement à sa demande. Pour les hommes de communication, il fallait qu’elle s’exprime « à partir du terrain ».

 
Pour ROYAL la madone Déate comme pour le Président ubiquiste SARKOZY DE NAGY BOCSA, la politique est plus que jamais un spectacle : une mise en scène du terrain.

 
Alexandre Anizy

Le ministre DATI confond Justice et Droit

Publié le par Alexandre Anizy

Dans un article publié dans le Figaro du 13 novembre 2007 (p.14), le Garde des Sceaux DATI commence par : « Les Français veulent une justice plus proche, plus efficace, plus humaine et plus accessible. La refonte de la carte judiciaire répond à ces impératifs. »
Il ajoute plus loin : « (…) d’avoir un juge isolé à côté de chez soi est-il le signe d’une bonne Justice ? » Il conclue par : « A Rouen, comme ailleurs, la nouvelle carte judiciaire est indispensable à la modernisation de la justice française, celle souhaitée par les Français. »

Concernant la nouvelle carte judiciaire qu’il défend dans cet article, nous n’avons pas d’objection, car elle n’ajoute rien aux dérèglements actuels. Le regroupement de certaines unités de l’administration judiciaire permettra une rationalisation du travail qui aboutira à une amélioration de la productivité des agents. Ainsi, sans augmentation des effectifs, on peut espérer un traitement plus rapide des dossiers, sans employer pour autant les expéditives méthodes chinoises, citées en exemple par Marie-Ségolène ROYAL la madone Déate.

Seul le désarroi d’une corporation explique l’agitation quantitativement dérisoire. Le ministre DATI ne doit pas fléchir, parce qu’il n’a pas d’opposition sérieuse dans cette affaire.

 
Mais notre compréhension naturelle d’un problème de gestion ne doit pas occulter notre effroi lorsque nous constatons que le ministre DATI parle de justice (avec parfois la majuscule, rien de moins) quand il ne s’agit que de Droit et d’administration judiciaire.
En effet, il ne faut jamais confondre Justice et Droit, puisque la Justice, englobant des valeurs morales, est un concept supérieur au Droit.

 
Il est surprenant de voir une juriste comme Mme Rachida DATI faire cet amalgame douteux entre Justice et Droit.

Il est inquiétant d’entendre un magistrat, qui plus est le Garde des Sceaux, parler de Justice quand il ne s’agit que de Droit.

Sur la Terre, seuls les fous et les dictateurs prétendent rendre la Justice.

 
La Justice, comme la perfection, n’est pas de ce monde.

 
Alexandre Anizy

ROYAL le retour de la madone Déate

Publié le par Alexandre Anizy

Il semble que Marie-Ségolène ROYAL la madone Déate ait décidé de revenir dans l’arène politicienne : elle le fait comme d’habitude par la bande et par l’image. C’est sa vision de la politique.

 
A quoi rimait sa visite filmée chez un médecin généraliste ? Râler contre les franchises médicales en affirmant péremptoirement que c’est « le début de la fin de la Sécurité sociale », alors que les social traîtres ont participé au chantier de démolition quand ils étaient au pouvoir (Mr Claude EVIN est un bel exemple de cette cogestion destructrice), n’est-ce pas friser le ridicule ?

 
Il paraît que Marie-Ségolène ROYAL la madone Déate travaille modestement dans son coin, loin des caméras et des stylos de journalistes, pour être prête le moment venu à servir le parti et le pays, en faisant abstraction de son projet personnel : c’est du moins ce qu’elle dit à tous les micros ouverts.

 
Pour conclure, elle n’oublie pas d’annoncer la sortie prochaine de son livre « ma plus belle histoire, c’est vous » : toujours la même communication affective, maternelle ; toujours la référence lointaine au francisquain MITTERRAND

Quand lui chantera-t-on « tchao Pantin » ?

 
Alexandre Anizy

Christophe DONNER le mauvais joueur, Franz Olivier GIESBERT l'anguille

Publié le par Alexandre Anizy

L’écrivain Christophe DONNER est un mauvais joueur. En effet, il est dans le circuit depuis un certain nombre d’années. Il connaît donc les us et coutumes, les règles de ce milieu : il en a sans doute profité dans le passé.

Alors qu’il se voyait, qu’on le disait, parer du bandeau rouge Renaudot, il est écarté au profit de Daniel PENNAC, qui n’est pas un jeunot, pour son livre « chagrin d’école » (excellent titre) qui n’est pas un roman.

 

L’anguille Franz Olivier GIESBERT est derrière cette manœuvre, paraît-il. Un homme singulier, ce GIESBERT :

il est le fils de Marie Giesbert, propriétaire du journal "Paris-Normandie" cédé à Robert HERSANT au début des années 70 ;

il est embauché à la même époque par le Nouvel Observateur de Jean DANIEL et de Claude PERDRIEL (« ennemi du Droit, amis de Droite » note du 30 juin 2007), ce qui en dit long sur cet hebdomadaire « de gauche » ;

FOG, comme on dit, qui n’a pas un diplôme qui compte en France (i.e. Grandes Ecoles, ou bien un Doctorat Lettres compte tenu de son job) a pu gravir vite les marches du pouvoir médiatique ;

FOG quitta le Nouvel Observateur pour prendre une Direction au Figaro de Mr HERSANT (reliquat du deal familial précédent ?) ;

FOG quitta le Figaro pour prendre la Direction du Point du milliardaire François PINAULT, où il règne maintenant sans partage, contrairement au Figaro, sur son petit monde ;

FOG commet aussi quelques émissions de télévision à prétention politique ou littéraire, ou les deux, l’essentiel étant d’en être.
Comme on le voit, la capacité de nuisance de FOG est certaine.

Pour quelle raison GIESBERT aurait-il jeté son dévolu sur PENNAC ? Quelques hypothèses circulent… Sans intérêt.

Patrick BESSON, que nous soutenons par ailleurs (note du 2 septembre 2007), a favorisé cette manœuvre, disposant de 2 voix en tant que Président du jury. Que n’a-t-il pas opté pour un choix vraiment iconoclaste, à défaut d’être révolutionnaire, en jouant de la préférence communautaire, si répandue dans le milieu germanopratin ?

Selon ce critère, Patrick BESSON aurait dû batailler pour décerner le prix Renaudot à un vrai jeune auteur pour un vrai roman :

« la tambouille » d’Alexandre ANIZY.

C’eût été un « coup » à l’honneur du jury Renaudot.
Mais l’honneur, c’est peut-être un gros mot pour Franz Olivier GIESBERT ?

 
Alexandre Anizy

Pour Jacques MARSEILLE et Olivier PASTRé, vive la crise

Publié le par Alexandre Anizy

Ex stalinien (1), Jacques MARSEILLE entonne depuis quelques années maintenant son couplet libéral : il le fait avec talent et ironie, ce qui ne gâche rien, contrairement à Alexandre ADLER dont la culture encyclopédique a noyé le sens du discernement.
Ils ont enseigné à Paris VIII (université), au temps où cette université n’était pas sous la coupe d’un zigoto nommé Pierre LUNEL.

En 1983, l’historien Jacques MARSEILLE publiait un livre iconoclaste intitulé « vive la crise et l’inflation » (Hachette, 248 p.), où il défendait la thèse suivante (de mémoire) : les périodes de crise économique et d’inflation sont favorables à la population active qualifiée. Les statistiques qu’il produisait donnaient du crédit à son propos.

Rappelons ici que 1983 est l’année charnière où le francisquain MITTERRAND et sa clique tournaient le dos à une politique de gauche … pour entrer dans une chimère européenne, puisqu’il faut bien vendre quelque chose aux électeurs (« L’Europe, l’Europe, … » disait DE GAULLE en parlant de cabris).

Le 1 novembre 2007, dans son article du Point, Jacques MARSEILLE pense toujours que la crise est, somme toute, bénéfique. Aux travailleurs qualifiés ? Non, à la France ! (On notera ici l’évolution macroéconomique de Jacques MARSEILLE)  

« Alors, « vive la crise ! » si la prise de conscience de ceux qui nous gouvernent les amène à ne pas renouveler les mollesses anesthésiantes du chiraquisme et à s’engager dans la réduction massive des dépenses publiques, qui, partout ailleurs, a été le meilleur sinon le seul moyen de retrouver la croissance. »

On observera ici que, lorsqu’il était communiste, Jacques MARSEILLE honnissait les socialistes (ce mou MOLLET…) et que, parce qu’il est aujourd’hui libéral, il critique fermement le radicalisme corrézien de CHIRAC : Jacques MARSEILLE n’aime toujours pas les demi-mesures.

En 1983 comme en 2007, Jacques MARSEILLE met en exergue l’essentiel : la crise est bien devant nous. Les prévisions de l’OCDE pour la croissance américaine sont de 2 % au 3ème trimestre et de 1,5 % au 4ème trimestre (rythme annuel) ; la crise immobilière est loin d’être enrayée ; le montant des prêts subprimes sera plus élevé en 2008 que pendant la crise de l’été 2007.

« Or, dans le passé, 8 crises immobilières sur 10 ont débouché sur une récession, les 2 périodes y ayant échappé étant celles des guerres de Corée et du Vietnam, quand les dépenses militaires avaient servi de moteur de substitution. »

La prochaine guerre d’Iran fera-t-elle un bon moteur de substitution ?

La croissance en Europe va ralentir, alors qu’elle était déjà relativement faible par rapport à celles des autres zones économiques, avec notamment un taux de croissance de 1,8 % pour l’Allemagne en 2008, comme pour l’Italie et la France.

C’est pourquoi la crise est bienvenue selon Jacques MARSEILLE. Le moment est propice au grand chambardement tant attendu par certains : « (…) tous les pays qui ont su faire la « rupture » l’ont fait précisément pendant les périodes de vaches maigres. »

Par déformation professionnelle, Jacques MARSEILLE interroge le passé pour le « reproduire en mieux » dans un avenir proche : il veut retrouver la croissance… Est-ce un objectif réaliste ?

 

Quant à Olivier PASTRé, toujours professeur d’économie à Paris VIII, c’est la crise boursière qu’il reconnaît dans un article pour Libération (7 novembre) : il a toujours le même sens de la mesure et de la pondération.
« La crise boursière actuelle – qui n’est vraisemblablement pas terminée – va, comme toutes les autres crises qu’a connues le système capitaliste, accoucher du pire mais aussi du meilleur. »

Olivier PASTRé liste ensuite quelques aberrations dans la sphère financière qui ont conduit à cette crise pour en arriver à cette prudente conclusion : « Cette crise est donc, à ce stade, salutaire. Elle oblige tous les acteurs des marchés financiers à mener à terme leur examen de conscience. »

Olivier PASTRé est une âme bien-pensante, qui oublie qu’à terme les acteurs financiers glisseront à nouveau du statut de pompier à celui de pyromane, sans passer par la case introspection et repentance : n’est-ce pas la règle du jeu ?

Et pourquoi ne pas changer ces règles ? « La question de la régulation n’est évidemment pas, à ce stade, plus de régulation mais mieux… »
Il est donc urgent d’attendre … que la communauté financière fasse son autocritique et qu’elle redevienne l’éphore de l’économie de marché.

 

Résumons la situation : oyez, oyez, braves gens, n’ayez pas peur ! Les experts fautifs vont trouver par eux-mêmes les solutions aux problèmes qu’ils ont créés et nous permettre ainsi de rebondir. Comme avant.

 
A ce stade, comme dirait PASTRé, nous pensons que le temps de leur réflexion n’a pas été suffisant et que le logiciel des experts devrait être audité.

 
Alexandre Anizy

 (1) Par définition, tout membre du Parti Communiste est un marxiste-léniniste, dont STALINE est le parangon.

Gunnar STAALESEN pour le voyage

Publié le par Alexandre Anizy

Gunnar STAALESEN le norvégien a commencé à publier ses polars en 1977. Avec son personnage de détective privé Varg Veum, qui s'inscrit dans une vision désabusée de la société, il préfigure Henning MANKELL le suédois. Un cran en dessous tout de même.

Pour un voyage, vous pourrez emporter « le loup dans la bergerie », ou bien « pour le meilleur et pour le pire », ou bien « la Belle dormit cent ans » (ils sont en folio).

En lisant, le temps passera vite.

 
Alexandre Anizy

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