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La patronne du MEDEF ne tenait pas sa boutique

Publié le par Alexandre Anizy

Quand on est chef d’entreprise, on maîtrise tous les rouages de son organisation, ce qui induit la connaissance des opérations.

 
Or l’héritière Laurence PARISOT, patronne du MEDEF, nous dit qu’elle ignorait ce qui se passait au sein du patronat du fait notamment de l’opacité de l’UIMM.

Elle affirme qu’elle ne savait rien de la caisse noire et des enveloppes d’argent remises à des destinataires inconnus (à ce jour) pour « fluidifier les relations sociales », comme ils disent.
 

Si l’on en croit ses déclarations, force est de constater que l’héritière Laurence PARISOT ne tenait pas sa boutique.

Quand on est un manager, les patrons comme l’héritière PARISOT appellent ça un manquement professionnel : c’est une cause réelle et sérieuse de licenciement.

 

Alexandre Anizy

PANAFIEU la tocarde se fait rétamer à Paris

Publié le par Alexandre Anizy

Quelle satisfaction de voir que les Parisiens ont rejeté la liste de Françoise de PANAFIEU la tocarde au 1er tour des élections municipales.
Nous ne boudons pas notre plaisir quand un de WENDEL est bouté hors du terrain. (Voir notre note du 6 mars 2008)  

Cependant, le vide politique abyssal de Bertrand DELANOË ne nous inspire que la méfiance. Forcément.

 
Alexandre Anizy

Le bibliothécaire de Larry BEINHART

Publié le par Alexandre Anizy

On doit déjà à Larry BEINHART le film « des hommes d’influence » de Barry LEVINSON, puisqu’il est adapté de son roman « Reality Show ».

 
Avec « le bibliothécaire » (folio n° 466, 2007, 546 pages), Larry BEINHART nous décrit une partie des coulisses d’une campagne présidentielle américaine : c’est un bon complément au film « Primary Colors ». Ce livre est un polar qui s’inscrit dans la production sur la conspiration : il est vraiment bien ficelé.

Les chapitres 15 et 16, par exemple, qui racontent le duel télévisé entre les 2 candidats, est une description réaliste de ces pseudo débats.

 
A lire avant novembre 2008.

 
Alexandre Anizy

Propagande sur une baisse dépassée du chômage

Publié le par Alexandre Anizy

Dans notre note du 5 mars 2008 « l’incompétent ministre Christine LAGARDE persiste dans la dénégation », nous vous informions que le chômage repartait à la hausse en vous donnant le chiffre officiel des demandeurs d’emploi à la fin janvier 2008 : 1910,5 (en milliers ; données cvs).

Chiffre communiqué par le Ministère de l’Economie le 28 février 2008.
(Dans le Figaro du 29 février)

Or, depuis jeudi, nous assistons à un bombardement médiatique sur une baisse du chômage … en 2007.
C’est un exemple de propagande à 2 jours des élections municipales.

 
Jeudi 6 mars : Journal Télévisé de Mr David PUJADAS de France 2

Après un « sujet » d’environ 3 à 4 minutes sur les manifestations des retraités, la « baisse du chômage » vient opportunément contrebalancer l’effet déplorable de ces vieux dont la retraite est aussi mince que la taille de « Cuisse de mouche » (chanson de Pierre PERRET …  il y a déjà 40 ans environ).

Sur la chaîne de Patrick de CAROLIS, un ami de Bernadette CHODRON DE COURCEL épouse CHIRAC, on est habitué à ce genre  de manœuvre d’équilibre républicain, n’est-ce pas ?

 

Vendredi 7 mars : Figaro de Mr Serge DASSAULT

A la une, on a « Chômage : le taux le plus bas depuis 25 ans »

Le chiffre de janvier du Ministère de l’Economie n’apparaît pas.

Quant à l’incompétent ministre Christine LAGARDE qui semble ignorer ce que son ministère publie, elle croit bon (par honnêteté intellectuelle ?) de souligner (un trait d’esprit peut-être ?) que « les esprits chagrins s’accordent à conclure qu’il s’agirait d’emplois dégradés ». 

Que le journal de DASSAULT, un ami du Président ubiquiste SARKOZY DE NAGY BOCSA, soigne le bilan de la majorité présidentielle, on est dans l’ordre normal des choses, n’est-ce pas ?

 

Vendredi 7 mars : Libération de Mr de ROTSHILD

A la une (encore plus visible qu’au Figaro) : « Chômage : la France au plus bas depuis 1983 »

Libération se voulant un journal d’opposition constructive, il nous inflige 2 pages pleines (6 et 7) où il ressort que :

« Chômage : un chiffre qui tombe à pic » ;

« 1 ce chiffre est-il fiable ? Les chiffres du chômage sont aujourd’hui clarifiés. » ;

« 2 Moins de chômeurs, ou plus de travailleurs précaires ? Le chômage a baissé en 2007. Et les créations d’emploi ont explosé, c’est un fait (…) » ;

« 3 D’où viennent les créations d’emploi ? » ;

« 4 La démographie explique-t-elle cette baisse ? La pyramide des âges n’explique pas à elle seule l’amélioration du marché du travail. » ;

« 5 Le traitement social a-t-il eu un impact ? Statistiquement, les stages, emplois aidés et autres préretraites (…) n’ont pas eu, ces dernières années, d’incidence significative (…). » ;

« 6 La tendance va-t-elle se prolonger ? Malgré le ralentissement (…) l’économie française devrait rester créatrice d’emplois (…) »
Et noyer dans le texte, les données officielles du ministère apparaissent enfin.
 

Personnellement, nous trouvons l’article de Libération « plus vendeur » pour la majorité présidentielle.

A 2 jours des élections municipales, Libération apporte un soutien efficace (pagination plus importante que dans le Figaro ; arguments plus élaborés) à la propagande sarkozyenne.

 
Mais le propriétaire de Libération Mr DE ROTSHILD, un ami du Président ubiquiste SARKOZY DE NAGY BOCSA, servi par un Laurent JOFFRIN bien connu au Siècle et à l’ex Fondation Saint Simon (repaires de la pensée unique), n’y verra aucune objection : d’ailleurs il ne se mêle pas de la ligne politique du journal, c’est bien connu.

 

Concluons par ceci :

les sondages (des RG par exemple) ne doivent pas être fameux pour la majorité présidentielle ;

dans les moments politiques cruciaux, LIBERATION vaut le FIGARO.

 

Alexandre Anizy

Pour une autre politique de la Ville

Publié le par Alexandre Anizy

Selon l’architecte Rem KOOLHAAS, l’urbanisme moderne est un « espace pourri ».
La ville grandit à la manière d’un cancer : c’est une chose proliférante, sans limite, sans centre ni périphérie ; c’est une répétition d’un module structurel ordonné par les logiques monofonctionnelles.
Comme le dit Paul VIRILIO : « Le village global c’est l’horreur, c’est le ghetto mondial ».

Les ghettos de pauvres font face aux ghettos de riches : aux USA, 35 millions de riches vivent retranchés dans des villes privées, derrière des murs et des portails métalliques, sous surveillance électronique.
C’est l’urbanisme de la peur, le refus de l’Autre.
Dès lors, peut-on encore parler d’avenir ?

 
Pourtant, une autre Ville est possible : certains s’y attèlent déjà, comme le réseau « Città Slow » (villes lentes).

Prenons l’exemple de Greve in Chianti (à mi-chemin entre Florence et Sienne) et quelques mesures adoptées dans cette ville :

  • Résolution de la circulation des véhicules dans le centre historique ;
  • Sauvegarde des activités commerciales et artisanales régionales et traditionnelles ;
  • Education des jeunes au goût en commençant par l’école ;
  • Défense et promotion des produits régionaux et des filières courtes ;
  • Favoriser l’agro-tourisme et les petits hôtels aménagés à l’intérieur de structures existantes ;
  • Maîtrise de l’urbanisme et des constructions, avec par exemple l’introduction de la construction bio.

Pour empêcher l’expansion sans fin des limites urbaines, il faut mener une politique d’urbanisme fondée sur la maîtrise des constructions et sur la réutilisation des volumes déjà existants.

Ces choix politiques sont possibles, ici et maintenant.
Sans dogmatisme. Sans ostracisme.

 
Alexandre Anizy

Rejeter PANAFIEU la tocarde, c'est bouter une de WENDEL

Publié le par Alexandre Anizy

Le magazine « le Point » a mené une enquête sur le Revenu et le patrimoine de candidats aux élections municipales : Françoise de PANAFIEU n’a pas répondu.

 
Il est vrai que « Fille de François MISSOFFE, ancien ministre de la Jeunesse et des Sports de Georges POMPIDOU, et d’Hélène de MITRY, comtesse de la dynastie des de WENDEL, cousine du baron Ernest Antoine SEILLERE DE LABORDE, ex président du MEDEF, elle a épousé un inspecteur des finances, Guy de PANAFIEU, ancien vice-président du groupe Suez Lyonnaise des Eaux et dirigeant de la banque d’affaires Calyon. Avec un tel parcours, il n’est pas douteux qu’elle ait du bien. Mais l’électeur n’en saura rien. »

C’est la transparence à la sauce PANAFIEU.

 
Le 9 et 16 mars, il serait bon que le peuple de Paris rejette cette bourgeoise à ses œuvres de charité et ses rallyes : une nouvelle de WENDEL serait ainsi boutée (voir notre note du 21 juin 2007 « un WENDEL bouté hors de Lorraine »).

 

Alexandre Anizy

L'incompétent ministre Christine LAGARDE persiste dans la dénégation

Publié le par Alexandre Anizy

L’incompétent ministre Christine LAGARDE est un bon petit soldat qui ose monter au front médiatique pour expliquer des positions indéfendables comme :

  • Le taux de croissance français sera près de 2 % en 2008 ;
  • Le pouvoir d’achat des Français s’est amélioré grâce aux mesures prises par le Président ubiquiste SARKOZY DE NAGY BOCSA ;
  • La situation de l’emploi s’est améliorée en 2007.

Pourtant, le devoir d’un ministre n’impose pas l’abnégation.

 

Concernant le taux de croissance, dès l’été 2007, c'est-à-dire au moment de l’élaboration du Budget, des économistes sérieux affirmaient déjà que le taux de croissance ne pourra pas être à ce niveau : mais que voulez-vous, il fallait bien présenter un Budget conforme aux critères de Bruxelles. Nous en sommes là …
 

Mme Christine LAGARDE, parce qu’elle ne doit pas souvent faire ses courses, n’a pas remarqué que les prix de certains produits d’une alimentation courante, comme les pâtes et des produits laitiers, ont progressé parfois de 48 % !

Pour le caviar et la truffe, Mme Christine LAGARDE devrait pouvoir nous renseigner.

 

Depuis septembre 2007, l’incompétent ministre Christine LAGARDE ne cesse de nous seriner que la situation de l’emploi s’améliore parce que les chiffres du chômage baissent et parce que ceux de la création d’emploi sont excellents.
 

Concernant les chiffres du chômage, suite aux bidouillages de l’INSEE (voir notre note du 19 novembre 2007 « les bidouillages de l’INSEE »), nous sommes circonspects face aux données du 2ème semestre 2007 qui finirent par un nombre sous la barre des 1,9 million de demandeurs d’emploi en décembre 2007. Mais en admettant que cette baisse modeste et progressive de septembre à décembre fût réelle, force est de constater que l’embellie n’aura durer que 4 mois : le chômage est reparti à la hausse en janvier 2008 (données cvs, en milliers : 1910,5).  

 

Concernant le nombre de créations d’emploi, l’incompétent ministre Christine LAGARDE exulte en février : près de 300.000 en 2007, soit le meilleur chiffre depuis 2000. Puisque les enquêtes correspondantes ne sont pas disponibles, d’où sortent les données du ministre ? Mystère.

Pour masquer la mauvaise nouvelle, i.e. le rebond du chômage, il fallait mettre en avant une « bonne nouvelle » : les chiffres de la création d’emplois. Le ministre l’a fait : à Bercy, la seule chose sérieuse semble être la communication.

Vue et pratiquée de la sorte, la politique c’est simple, ne trouvez-vous pas ?

En fait, là aussi, derrière le chiffre mirifique de 300.000 balancé par le ministre, tout porte à croire que la situation se dégrade (les données définitives de 2007 n’étant pas encore disponibles, rappelons-le). Nous examinerons donc les valeurs de 2006 : 188.900 emplois ont été créés, dont 60 % dans les services à la personne (aide à domicile, garde d’enfants, etc.). Or dans ces services à la personne, les emplois créés ont une durée du travail extraordinairement faible, avec une moyenne horaire annuelle de 420 heures (oui, vous avez bien lu), ce qui ne fait que « 32.000 emplois en équivalent temps plein », et ce qui fait un emploi à moins d’un tiers-temps !  

Le niveau de rémunération de ces emplois étant le SMIC, cela fait donc environ 300 € par mois. Rappelons ici qu’un des objectifs du plan BORLOO est la multiplication de ce type d’emplois.

Mais ces salariés ont évidemment plusieurs employeurs ! Et alors ?

Les statistiques sont têtues : dans l’aide à domicile, les salariés à temps partiel ayant plusieurs employeurs ont une durée hebdomadaire de travail inférieure à celle des salariés qui n’en ont qu’un …
 

Petite leçon de communication politique : laisser les pinailleurs et les opposants (quelle jubilation !) ratiociner sur les valeurs brutes, nettes, cvs, réelles, absolues, relatives, etc.

Au bout du compte, la croissance des emplois repose en grande partie sur la création de tiers-temps, soit 11 à 12 heures hebdomadaires en moyenne.

 
Ah ! Les petits boulots ! Sont-ce vraiment des emplois dont l’expansion soit un signe de prospérité économique ?

 
Alexandre Anizy

EADS délocalise comme AREVA : les profits aussi ?

Publié le par Alexandre Anizy

Vous n’ignorez pas que EADS vient d’emporter le contrat du siècle (rien que ça) aux Etats-Unis (in Journal du Dimanche de Mr Arnaud LAGARDèRE … comme EADS !) : 35 à 40 Milliards de dollars pour 179 KC-30 (avion ravitailleur, dérivé de l’Airbus 330).
EADS assurera au moins 17 Milliards USD de la charge de travail.

Mais pour l’emporter, EADS délocalisera, comme AREVA.
L’assemblage du KC-30 sera réalisé à Mobile (Alabama) où 1.300 emplois seront créés.

La mondialisation de la production menée par l’énarque Louis GALLOIS sera au détriment de l’emploi en Europe : après cette usine américaine et la future chinoise, où s’arrêtera le transfert de production, s’interroge le syndicaliste Xavier PETRACHI.

Mais la bonne question (optimisation fiscale) n’est–elle pas maintenant : où seront localisés les profits ?   

 
Alexandre Anizy

UIMM : GAUTIER-SAUVAGNAC encaisse, PARISOT l'héritière s'indigne, les autres se taisent

Publié le par Alexandre Anizy

C’est un nouvel épisode dans le feuilleton de l’UIMM, avec dans le rôle principal de porteur de valise Mr Denis GAUTIER-SAUVAGNAC : le patronat (précisément l’UIMM : voir notre note du 6 novembre 2007 « la bonne gouvernance du Comité des Forges (UIMM) ») a accordé 1,5 millions d’euros d’indemnité à cet honnête Denis GAUTIER-SAUVAGNAC et promis de prendre en charge tous les frais relatifs à ses démêlés actuels (pénaux, fiscaux … sans limitation de montant). C’est le prix (vraiment exhaustif ?) de son silence.

 

Résumé chronologique de l’affaire dans l’affaire :

  • Fin septembre 2007, révélation des retraits « liquides » de  Denis GAUTIER-SAUVAGNAC ;
  • L’enquête préliminaire est ouverte par le parquet (voir notre note du 27 février 2008 « Jean-Claude MARIN un procureur perfectionniste ») ;
  • Courant octobre 2007, le bureau de l’UIMM mandate Michel de VIRVILLE pour négocier un accord avec Denis GAUTIER-SAUVAGNAC ;
  • Début novembre 2007, la transaction est signée … avant l’interrogatoire et la garde à vue de Denis GAUTIER-SAUVAGNAC  par la brigade financière ;
  • Décembre 2007 : Denis GAUTIER-SAUVAGNAC  ayant compris qu’il n’échappera pas à une mise en examen qui aura des conséquences financières (pénales, fiscales), et étant toujours le Délégué Général de l’UIMM (la transaction de novembre prévoyait son départ immédiat en tant que Président de l’UIMM : Denis GAUTIER-SAUVAGNAC, qui connaît bien son petit monde UIMM, a eu l’intelligence de rester dans la place pour s’assurer, par exemple, du respect des termes de l’accord), demande via ses avocats une nouvelle transaction au bureau de l’UIMM ;
  • 21 décembre 2007, le bureau de l’UIMM mandate à nouveau Michel de VIRVILLE pour négocier ;
  • 23 décembre 2007, un avenant au premier accord est signé qui prévoit donc cette fois que toutes les condamnations éventuelles liées à cette affaire seront prises en charge par l’UIMM en échange du silence de Denis GAUTIER-SAUVAGNAC : « ce document [explique une source proche du dossier] indique de façon implicite que cette garantie va de pair avec le silence de Gautier-Sauvagnac sur les destinataires des millions d’euros. » (Marianne 1 mars 2008).

 
L’achat du silence d’une personne mise en examen n’est-il pas un délit ?

On remarquera que le bureau de l’UIMM a choisi à chaque fois Michel de VIRVILLE qui, en tant que Secrétaire Général de Renault en charge des Ressources Humaines depuis longtemps, n’ignore rien (à moins d’être incompétent, ce qui n’est pas son cas dit-on) des aspects juridiques de ce genre de document : il est vrai qu’étant né le 13 mai 1945, celui-ci peut partir en retraite ou bien démissionner immédiatement, au cas où les choses tourneraient mal (en échange d’un parachute doré ?) …

 

Le magazine Marianne ayant mis sur la place publique les petits arrangements de ces gens de l’UIMM, Michel de VIRVILLE a proposé à l’héritière PARISOT (patron du MEDEF) sa démission pour sa fonction à l’organisme d’assurance chômage, comme l’a été auparavant Denis GAUTIER-SAUVAGNAC, où le patronat via ces sbires n’a pas cessé de rogner, de raboter, bref de diminuer les indemnités des honorables et modestes travailleurs.

 

Puisque nous parlons de l’héritière Laurence PARISOT, que pense-t-elle de ce rebondissement ?

« Je n’ai pas décoléré. (…) Ce comportement est grossier. Il signe une absence totale de respect et de sens de l’intérêt général. » (JDD 2 mars 2008)

L’indignation, c’est la grande spécialité de l’héritière Laurence PARISOT : reprenez ces déclarations après les différents « parachutes dorés scandaleux » …

Être indigné, c’est toujours bien vu médiatiquement, et ça ne mange jamais de pain.

 

Concernant « le respect et le sens de l’intérêt général » des patrons, nous invitons l’héritière Laurence PARISOT à venir plancher sur ce sujet devant les salariés de ARCELORMITTAL, EADS, AREVA : ils apprécieront. 

 

Alexandre Anizy

Composition du bureau de l’UIMM (selon Marianne 1 mars 2008) qui a permis cet accord global avec Denis GAUTIER-SAUVAGNAC :

  • Jean-Paul Béchat
  • Etienne Bernard
  • Laurent Bernard
  • Philippe Darmayan
  • Thierry Gagnez
  • Yvon Jacob
  • Joël Karecki
  • Anne Lauvergeon
  • Robert Mahler
  • Jean-Paul Mauduy
  • Roger Pellenc
  • Jean-Marie Poimboeuf
  • Yves Rambaud
  • André Robert-Dehault
  • Christian Streiff
  • Michel de Virville

QIU XIALONG pour le contexte

Publié le par Alexandre Anizy

QIU XIAOLONG est un écrivain chinois dont le père a été une cible des Gardes Rouges. Il est aux USA quand les événements de Tienanmen  éclatent en 1989 et son nom circulant ... il ne peut pas retourner en Chine. Il enseigne à la Washington University de Saint Louis.

« Encres de chine » (poche points, mars 2006, 314 pages) est la 2ème lecture de cet auteur. Son héros : un flic ayant publié des poésies, bien vu du Parti et sachant jouer avec la politique.

Intéressant pour la vision des us, coutumes et moeurs en Chine de 1990.
Ni plus, ni moins. (Autre titre : « mort d'une héroïne rouge »).

 
Alexandre Anizy

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