Que reste-t-il aux socialistes ?
Nous pensons, et nous l’avons écrit, que le programme royaliste avait et a un arrière-goût de Vichy (lire notes politiques de 2007).
Nous pensons que Martine AUBRY est un JOSPIN en jupons, qui gagne à gauche le parti (les mollétistes du Nord en connaissent un rayon …) pour une gestion frileuse (car non assumée) de droite.
Nous savons que Bertrand DELANOË est un libéral qui veut des managers pour animer ses événements, comme ceux de Paris-Plage, la Gay Pride, les Nuits Blanches, du genre Christophe GIRARD, un bobo opportuniste (lire note du 24 octobre 2007) salarié du groupe LVMH : avec lui, le programme s’apparenterait à celui du Crazy Horse.
Nous savions que Julien DRAY réglait les questions de sécurité comme son (ex) ami franc mac Alain BAUER (ex rocardien comme le franc mac Manuel VALLS), désormais conseiller du Président ubiquiste SARKOZY DE NAGY BOCSA. Maintenant DRAY affirme que les socialistes ont « 2 ans pour faire le deuil de l’Etat-Providence des belles années de la social-démocratie –ce qui ne la condamne pas en elle-même, car l’exigence de justice sociale est plus forte que jamais. Nous avons 2 ans pour définir un Etat-entrepreneur, inventant de nouvelles normes de production et de consommation. ».
Comme les prétendus socialistes ont abandonné depuis longtemps le concept de nationalisation, on s’interroge sur la pertinence du concept d’Etat-entrepreneur de monsieur Julien DRAY.
Encore une fois, il va leur rester François HOLLANDE, le culbuto mollétiste.
Alexandre Anizy