Désorienté chez Négar Djavadi
Au commencement de Désorientale perce l'ennui.
De par sa formation et son gagne-pain (l'écriture de scénario), Négar Djavadi doit savoir prendre le client pour qu'il ne quitte pas l'écran des yeux. Mais dans son premier roman titré Désorientale (Liana Lévi, juillet 2016, livrel), elle fait la maligne avec un escalator... et finit par nous agacer en moins de 23 pages (sur 290).
Lassitude devant le roman annuel d'une autre exilée iranienne ?
Alexandre Anizy