La renommée du poète Louis ARAGON II

Publié le par Alexandre Anizy

S’il fallait retenir un poème de Louis ARAGON, nous choisirions « il n’y a pas d’amour heureux », que Georges BRASSENS a mis en musique et chanté.
(Question : BRASSENS a-t-il expliqué pourquoi il avait écarté la dernière strophe du poème ?)

 
N’oublions pas Léo FERRé et « l’affiche rouge ».

 
Mais c’est Jean FERRAT qui plaça la poésie d’ARAGON sur un piédestal disproportionné. Il puisa dans l’œuvre d’après la Libération.
En découvrant sur le papier les vers sélectionnés, on les fredonne avec le crooner français.

Le recueil « le Fou d’Elsa » est un fatras prétentieux.

En refermant le 2ème tome de la Pléiade, on se dit que Louis ARAGON est un grand poète, dont l’habileté est indéniable. Il est paradoxal qu’un si bon faiseur méprise MALLARMé et VALéRY.

 
Alexandre Anizy

Publié dans Notes culturelles

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