La voie d'Arnaldur INDRIDASON
La note d’aujourd’hui met un bémol à celle du 25 novembre 2007.
Le polar « la voix » (Points poche janvier 2008, 401 pages) d’Arnaldur INDRIDASON est bien écrit, avec une construction romanesque subtile, mais le procédé de l’histoire secondaire est de nouveau là.
De plus, le sentiment de culpabilité du flic est ressassé … si bien qu’on a l’impression à plusieurs reprises d’avoir lu le même texte dans les pages précédentes : effet désagréable.
Arnaldur INDRIDASON devrait infléchir sa voie, c'est-à-dire jouer piano du passé du flic, sous peine de nous lasser irrémédiablement. Ce serait dommage.
Alexandre Anizy