Reporters Sans Frontières (RSF), Robert MéNARD, et le boycott des Jeux Olympiques de Pékin (III)
Reporters Sans Frontières, c’est une officine dirigée par le journaliste Robert MéNARD : une PME de niche sur le marché de l’humanitaire.
L’opération « J.O. Pékin », « anti-flamme olympique dans Paris », pour RSF c’est 50.000 maillots noirs (ceux avec les menottes olympiques) vendus en une journée !
Pour RSF et Robert MéNARD, la liberté de penser est absolue … mais la transparence du marché s’arrête quand l’intérêt des sponsors est en jeu : les entreprises qui le subventionnent ne sont pas citées, à leurs demandes. Parce qu’à Pékin, on ne rigole pas dans les affaires.
Vous n’entendrez quasiment jamais RSF et Robert MéNARD dirent du mal des grands médias, français en particulier : il a tant besoin d’eux pour exercer son commerce.
Est-ce la raison pour laquelle le livre de Maxime VIVAS, « la face cachée de RSF, de la CIA aux faucons du Pentagone » (Aden, 2007), n’a eu aucun papier dans les médias ?
La petite entreprise de Robert MéNARD marchent bien : n’a-t-il pas racheté la revue Medias, un trimestriel de réflexion financé notamment par Stéphane COURBIT (vous savez bien, l’ancien copropriétaire d’ENDEMOL France, la boîte de production spécialiste de la téléréalité …) ?
RSF, humanitaire, Endemol, pipole, Robert MéNARD, liberté de penser : vous voyez la photo ?
Alexandre Anizy