Comme un parachute doré pour Vincent PEILLON le bourgeois prétendant (II)

Publié le par Alexandre Anizy

Lire aussi notre note du 19 novembre 2008.

 

Dans le Monde du 7 avril 2009, nous avons appris que Vincent PEILLON le bourgeois prétendant n’avait « jamais appelé à la crise sociale ». Quel jocrisse le prétendait ? Personne.

 

Pour ce monsieur, « la grande affaire du XXIème siècle sera la construction d’un ordre public international pour accompagner la mondialisation économique. » [C’est nous qui soulignons]

Il aurait pu parler du réchauffement climatique, des désastres humains probables dus aux famines, aux pénuries d’eau, etc. … Eh bien non ! Ce qui compte, c’est l’accompagnement du monde économique actuel. Penser au bien de l’oligarchie est un signe d’honorabilité.

Car « le combat n’est pas de moraliser le capitalisme, mais d’édicter des règles, assorties de sanctions », dit-il.

N’est-ce pas ce qu’ont fait tous les gouvernants jusqu’à ce jour ?

 

Pour Vincent PEILLON le bourgeois prétendant, si le Parti Socialiste est inaudible, c’est parce qu’ « il n’a toujours pas surmonté l’échec du 21 avril 2002 ».

En guise de nouvelle hypothèse, nous soumettons un proverbe japonais au philosophe picard ayant bénéficié d’un parachutage en or en région PACA pour les élections européennes : le poisson pourrit par la tête.  

 

Alexandre ANIZY

Publié dans Portraits

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