Sacha SPERLING un Lolito qui pille...
Encore un écrivassier « fils de » (Arcady et Kurys) qui limite la culture à son fondement !
Des échantillons de la camelote pour estimer le niveau du p’tit gars, en voici quelques uns.
3ème phrase et suivantes : « L’interphone sonne. Je précise l’étage en me demandant s’il est possible qu’il l’ait oublié. J’attends l’ascenseur. Je lui ouvre, je l’observe, je me souviens, puis je regrette. » (p.7)
« J’ai mis du coton dans mes Converse. C’est pas facile de rentrer en boîte à 14 ans. » (p.53)
« Je regarde Star Academy. Je m’ennuie. Il faut que je fasse mes devoirs. » (p.59)
Attention ! Un grand moment de poésie, façon Paul Géraldy des temps nouveaux :
« Les jours sont vert et gris. Les soirées sont noir et bleu. Le temps est long et pénible. » (p.65)
P’tit gars, il n’y a pas que le temps qui soit pénible …
Allez ! Une dernière ligne … pour la fête !
« Flora se sent sexy ce soir. Ça se voit, c’est épuisant. Sa chambre est orange, blanc et rouge. » (p.211)
Ahurissant. N’est-ce pas ? Nous en tombons. A la renverse. Un effet du nivellement scolaire socialiste ?
Dans le papier du Figaro du 13 août 2009, certes bien modeste au regard de ceux qui suivront dans les magazines réputés sérieux, de F.D. ou M.A. qui a commis cette franchise ?
« L’auteur narre avec une franchise désarmante et un certain talent d’écriture (…). »
Concluons : Sacha Sperling est un Lolito qui pille le tronc vulgaire de la jeunesse dorée.
Alexandre Anizy