Nous avons découvert cet auteur danois avec son livre « la femme de Bratislava » (folio janvier 2006 ; éditions Gaia 2004, édition originale Danemark en 2001).
Du grand art. Rien à jeter dans cette histoire policière dans le monde de l'espionnage sur fond de guerre des Balkans.
Puisque quand on aime, on ne compte pas, nous avons enchaîné avec "le Danois serbe" (éditions Gaïa 2001) : un franc-tireur serbe bosniaque est recruté par la mafia russe, qui a accepté un contrat de l'Iran sur une femme écrivain, genre Rushdie. La cible sortira de la clandestinité à Copenhague. Une histoire bien ficelée et bien écrite.
Nous plaçons Leif DAVIDSEN à la hauteur de Henning MANKELL, ou de Jo NESBO dont nous avons parlé dans une note précédente.
Alexandre Anizy