Claude PERDRIEL ennemi du Droit amis de Droite
Claude PERDRIEL est le propriétaire du « Nouvel Observateur », où s’exprime depuis 30 ou 40 ans la « conscience » de gauche sous la plume de son ami Jean DANIEL par exemple, où Jacques JUILLARD prône depuis des années la même stratégie politique pour les socialistes (pour résumer : le reniement des valeurs de gauche).
Mais Claude PERDRIEL a aussi beaucoup d’amis de Droite. Comme Alain MINC : il est vrai que ce petit monsieur ose se dire « de gauche » quand il ne fait que soutenir publiquement les hommes de droite comme BALLADUR en 1995 et SARKOZY de NAGY BOCSA en 2007. Les douces paroles gratuites doivent suffire à la conscience de monsieur Claude PERDRIEL.
En effet, jeudi 28 juin 2007, à la séance du Conseil de Surveillance du journal « le Monde », Claude PERDRIEL a pris partie pour Alain MINC en le déclarant « élu Président du Conseil de Surveillance », alors que les statuts de l’entreprise stipulent sans ambiguïté qu’il faut 11 voix « pour » quand le petit MINC n’en a obtenu que 10.
C’est ce qu’on appelle ignorer le Droit.
Mais en la matière Claude PERDRIEL est quasiment un récidiviste. Souvenez-vous : il avait essayé de maintenir à son poste de patron du Monde son ami Jean-Marie COLOMBANI en dépit du vote contraire des journalistes, i.e. au mépris des statuts de l’entreprise et donc du Droit.
Quelle leçon tirons-nous de ces histoires ?
Le seul organe important de presse, où le débat idéologique sur la refondation du plus grand parti de gauche (PS) sera public, appartient à Claude PERDRIEL, un homme d’affaires qui méprise le Droit.
Pour cette raison, nous sommes aussi dubitatifs sur l’organisation de ce débat de « refondation », et par conséquent le résultat final.