Anne LAUVERGEON un exemple de la syntaxe féminine de la grammaire des affaires

Publié le par Alexandre Anizy

Vendredi 31 août 2007, Anne LAUVERGEON commentait les résultats semestriels du Groupe AREVA qu’elle préside.

Elle insistait à nouveau sur le fait qu’une ouverture du capital d’AREVA, que le Commissariat à l’Energie Atomique (CEA) contrôle à 80 % environ, était la meilleure solution pour son développement.

Compte tenu du comportement récent de Mme LAUVERGEON (voir notre note du 2 mai 2007), nous parions qu’elle mettra son intelligence, son talent, ses relations politiques et diverses, au service d’une solution capitalistique présentant beaucoup d’avantages, et d’abord celui de protéger le pouvoir de Mme LAUVERGEON.

A notre avis, la Normalienne agira comme le Polytechnicien Jean PEYRELEVADE lorsqu’il était au Crédit Lyonnais : une défense acharnée du son intérêt. (Rappel : presque 10 ans de « guerre larvée » avec BERCY, le Crédit Agricole,…, pour le résultat que nous connaissons tous)

 
La syntaxe féminine de la grammaire des affaires n’est pas différente de la syntaxe masculine.
L’instinct maternel est un mythe (lire les études spécialisées).
Le « management au féminin » n’est qu’un argument mercatique sans fondement.    

Alexandre Anizy