La posture christique ou la dérive de ROYAL

Publié le par Alexandre Anizy

JOSPIN la taupe austère qui se marre, celui qui donne sans vergogne des leçons de politique et de morale à tout le monde, n’a pas su retenir ses mots venimeux contre Marie-Ségolène ROYAL : c’est le signe de son ultime impuissance.
Dorénavant, qui se souciera des aigreurs jospiniennes ? Il est vraiment temps qu’il se retire en emmenant sa belle adorée sur l’île de Ré.

La « madone du PS » aurait pu répondre par le mépris, du genre : « Je ne réponds pas aux aigreurs d’un loser rancunier », ou bien « la défaite politique du quasi septuagénaire JOSPIN a provoqué son naufrage, chère Simone ». Par l’humour, du genre : « Relativisons : les vacheries d’un SM valent bien les flatteries d’un VIP, et inversement ».

Pas du tout ! Marie-Ségolène ROYAL, un zeste de Vichy, persévère dans sa posture christique lorsqu’elle réplique : « Si j’étais Jeanne d’Arc, on m’aurait brûlée ! » ; « Pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font ».

Le discours royaliste est en train de dériver vers un féminisme victimaire (voir l’article de Caroline FOUREST dans Libération du 20 septembre 2007), avec une posture christique comme arme politique, ce qui donnera des slogans du genre :

« Croyants de tous les pays, unissez-vous… derrière mon tailleur blanc ! »

Alexandre Anizy