Famille nucléaire nuit à Caryl Férey
Ayant dit du bien de Caryl Férey avec Mapuche, nous ne pouvions pas ne pas parler de Famille nucléaire qu'il vient de commettre dans la collection « les petits polars du Monde » (août 2012, 64 pages, 2 €).
En effet, la platitude, pour ne pas dire la médiocrité de cette nouvelle, autant par le style que par l'intrigue, oblige le lecteur à s'interroger sur les qualités réelles de l'écrivailleur.
Il ressort de ce brouillon juvénile que les écrits sur commande nuisent gravement à la réputation des auteurs.
Espérons pour Caryl :
qu'il n'a pas été maqueroté par le Polac, que c'est bénef en cash ! en Suisse ! comme aurait écrit LFC ;
que les deniers de Férey valent autant que des diamants.
Alexandre Anizy