Le "worst" n'est pas sûr avec Eric Woerth
En dehors des questions d'organisations étudiées par Mintzberg, des "vaches à lait" du BCG, des "5 forces" de Michael Porter, etc., il semble bien que le bon sens commun échappe à Eric Woerth, notamment les notions de conflit d'intérêts et d'éthique (un élément de langage jamais absent des discours formatés de l'oligarchie). C'est le hic avec ce "hec".
Passent les jours avec leurs lots de révélations sur ce ministre que le Président ubiquiste Sarkozy de Nagy Bocsa affirme au-dessus de tout soupçon, plus le mantra woerthien "mensonges et calomnies" paraît d'une débilité effarante.
Le "worst" n'est pas sûr avec Eric Woerth.
Alexandre Anizy