Union Allemande : soulagement et humiliation selon le social-traître Jacques Delors
En complément de notre note
le commentaire du social-traître Jacques Delors :
« J'aurais préféré que l'Union économique et monétaire ne fasse pas appel à l'intervention du Fonds Monétaire International [FMI]. Le sentiment de soulagement – on a évité un échec sanglant – coexiste avec le sentiment d'humiliation parce qu'elle n'a pas trouvé en elle-même les moyens de répondre à la spéculation. » (JDD 28 mars 2010)
« Un sentiment de lâche soulagement et de honte », disait Léon Blum quelques jours avant la conférence de Munich en 1938. De toute évidence, le social-traître Delors n'a pas la lucidité de Léon Blum, quelques jours après l'accord de Munich.
Alexandre Anizy