Zoran Živković vaut mieux que Chevillard
Puisque Bernard Pivot a sorti un papier dithyrambique sur Eric Chevillard (son humour, son style, sa loufoquerie, etc.), il nous semble opportun de signaler les qualités de Zoran Živković.
Si avec Dino Egger et Démolir Nisard nous n'avons pas réussi à pénétrer le monde de Chevillard, échappant ipso facto à l'abêtissement si l'on en croit Tiphaine Samoyault (1), lire L'écrivain fantôme (Galaade éditions, janvier 2014, 165 pages, 16 €) fut plaisant.
Alexandre Anizy
(1) : pour vous épargner la lecture du livre Pour Chevillard, lire la chronique de Patrick Besson (dans le Point).