En permanence les glaviots du tartuffe Boris Vallaud
Le tartuffe Boris Vallaud passe à confesse et pleure misère.
Ayant hérité d’une circonscription en or (celle du député mitterrandien Henri Emmanuelli), l’énacrate Boris Vallaud a failli dégager le 7 juillet 2024. Comme ses complices, il ne comprend pas l’ingratitude des électeurs, lui qui a tant fait pour les gens de peu selon ses dires.
Mais la vérité finit par se savoir, même à Saint-Sever. Il est difficile de se dédouaner quand on a fait partie de l’équipage élyséen du culbuto molletiste François Hollande, comme le bankster Macron : lire notre ancien billet http://www.alexandreanizy.com/2019/10/8.les-tartuffes-socialistes-boris-vallaud.html
Risquant de recevoir le boulet de la défaite aux prochaines législatives, le parisien Boris Vallaud se met en scène en racontant la misère de France qui se déverse dans sa permanence électorale. De toute cette souffrance, le haut fonctionnaire puis député Vallaud n’y est pour rien, bien sûr. Oh ! Il fut bien malhabile à ses débuts parlementaires, tant il était encombré de lui-même… mais maintenant il sait : fi de la politique ! Il prône une démocratie fraternelle. « On me dira que la fraternité n’est pas un projet politique ? Je crois au contraire que c’est le seul qui vaille. » Plus de politique, pas de promesses, juste de l’amour ! Boris parle comme l’abbé Pierre !
Voilà le nouveau sermon du tartuffe Vallaud pour endormir les petites gens, comme le fait si bien sa Pimprenelle. Hélas ! Le mot socialiste continuera à sortir de la bouche de ce faux curé, comme autant de glaviots sur les tombes des Communards.
Alexandre Anizy