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notes politiques

L'incompétente ministre LAGARDE poursuit sa descente

Publié le par Alexandre Anizy

Christine LAGARDE nous avait déjà montré l’étendue de ses compétences pour demeurer zen (elle aime cette attitude, paraît-il) dans la médiocrité (record du déficit de la balance commerciale sous l’ère lagardienne) : quel talent !

Alors que les marchés financiers chutaient en cascade, Christine LAGARDE continuait sa plongée sous-marine en vacances : serait-ce une façon « new age » de faire l’autruche ?

Le Président ubiquiste SARKOZY DE NAGY BOCSA lui ayant rappelé les devoirs de sa charge, Christine LAGARDE a concocté un sketch à l’insu de son plein gré.
D’abord, elle déclare au journal télévisé de 20 heures que les fortes baisses boursières n’auront pas de conséquences sur l’économie réelle française. Puis, quelques jours plus tard, elle déclarait n’être sûre de rien concernant le taux de croissance pour 2007.

Pour nous, c’est évident : la 1ère conséquence de la crise boursière est la transformation brutale d’une ministre férue de yoga en girouette.

Alexandre Anizy

Où s'arrêteront les SARKOZY de NAGY BOCSA ?

Publié le par Alexandre Anizy

En élisant Président Nicolas SARKOZY de NAGY BOCSA, les Français ignoraient qu’ils gagnaient aussi une « Présidente ».

Avec la libération des infirmières bulgares, Cécilia SARKOZY de NAGY BOCSA aurait révélé tous ses talents diplomatiques, politiques et humanitaires, forcément humanitaires. Son intervention aurait été décisive face au retors guide de sa révolution KHADAFI, militaire de formation (ça facilite les interrogatoires, même en Libye) : du moins, c’est ce que nous avons compris du plan média de l’Elysée avec ses ouvriers Claude GUéANT et David MARTINON en action sur les chaînes de télévision.

Il nous semble que Cécilia SARKOZY de NAGY BOCSA n’a fait ni l’ENA, ni IEP Paris (Sciences Po.), ni HEC, ni ESSEC, etc., mais Assas (Faculté de Droit bien connue pour « ses groupuscules d’extrême droit » chers à Alain MADELIN, Gérard LONGUET, Patrick DEVEDJIAN, etc. –ah ! folle jeunesse !) qu’elle quitte sans terminer « son Droit » …
C’est formidable : il y aurait donc en France des compétences ailleurs.

Quand les renardeaux du Parti Socialiste s’interrogent, voire s’indignent de la dimension étatique et internationale de la « Présidente Cécilia » (comme on disait Evita, si chère au peuple argentin), ils ne s’honorent vraiment pas, puisqu’ils osent mêler leurs petites ambitions avec l’humanisme gratuit de la grande Dame de France.

Si le roturier socialiste Arnaud MONTEBOURG a beau jeu de préciser que la femme du Président n’a « aucun statut, aucun mandat prévus dans l’ordre institutionnel », il devrait quand même réfléchir, car, avec des propos aussi ringards, il pourrait lui aussi devenir un éventuel défaut pour sa châtelaine, qui va peut-être le briefer.  

« Qui peut mieux représenter le Président de la République que sa femme ? » s’interrogeait l’énarque Claude GUéANT, quand l’avocat DEVEDJIAN remarquait que « dans les monarchies, le conjoint du monarque a une place institutionnelle ».

Mais nous sommes en République, n’est-ce pas ?

 
Alexandre Anizy

Manuel VALLS et l'étiquette "gauche"

Publié le par Alexandre Anizy

Le député de l’Essonne Manuel VALLS verrait d’un bon œil le changement de nom du Parti Socialiste, sans attendre les élections municipales de 2008. Mais attention : il faudrait que le mot « gauche » soit dans la nouvelle dénomination.

Est-ce à dire, cher Manuel VALLS, que le dépoussiérage, voire le décapage (terme sans doute plus approprié compte tenu de vos options politiques), serait si radical qu’il vaudrait mieux inscrire « gauche » sur l’étiquette du flacon, de peur que les électeurs ne comprennent pas que ce serait un contenu de gauche qu’on leur fourguerait ?
En somme, vous prônez l’auto - certification.

Alexandre Anizy

Le dénigrement à l'encontre de Rachida DATI

Publié le par Alexandre Anizy

Comme nous n’avons pas l’honneur de connaître ni de près ni de loin Mme Rachida DATI, on ne peut nous soupçonner d’une quelconque connivence avec la Dame de la place Vendôme, ni même de sympathie. Mais nous observons depuis quelques semaines une montée en puissance du dénigrement à l’encontre du Garde des Sceaux, un feu croisé venant de l’oligarchie administrative et médiatique. Ces gens-là feront payer cher à Mme DATI son introduction dans la classe dirigeante.

Quand on est fille de maçon maghrébin, on ne peut réussir une formation de haut niveau et un parcours professionnel diversifié que par une force de caractère inébranlable et une capacité de travail importante : la pseudo élite qui s’auto – reproduit sans effort en arrive donc à la qualification de « caractérielle », dans le cas de Mme DATI ;
Quand on est un énarque arrogant, voire méprisant pour le quidam, tellement sûr de son intelligence supérieure que la politique ne peut se résumer qu’en une mise en scène des décisions de l’auguste personne, la pseudo élite qui s’auto – reproduit en arrive à la qualification indulgente de « droit dans ses bottes », dans le cas de M. Alain JUPPé.  
Chacun appréciera la différence.

Dominique SOPO, Président de SOS Racisme : « Je pressens que Rachida DATI paie d’être une ministre atypique, parce qu’elle est jeune, femme, et d’origine maghrébine. (…) Cette aristocratie républicaine attachée à ses privilèges défend son pré carré. » (Libération 16 juillet 2007, page 10).
A notre avis, M. SOPO, l’adjectif « républicaine » est en contradiction avec la pratique sociale de cette caste : il semble qu’elle se soit appropriée et identifiée à « la chose publique », pour le bonheur du peuple évidemment.

La société est gangrenée par un ostracisme permanent et sournois : le communautarisme a déjà triomphé en France. Comme toujours, l’élite a montré l’exemple.

Alexandre Anizy

La Commission Européenne prend une claque mais persistera

Publié le par Alexandre Anizy

Mercredi 11 juillet, le Tribunal de Première Instance européen a condamné la Commission Européenne, qui devra indemniser partiellement le groupe Schneider.

En 2001, Mario MONTI, le commissaire chargé de la concurrence, avait bloqué à tort la fusion Schneider – Legrand : « La méconnaissance grave et manifeste par la Commission des Droits de la défense de Schneider constitue une violation suffisamment caractérisée du droit communautaire. » Il est piquant de voir que ceux qui prétendent défendre, voire instaurer, les règles d’une concurrence pure et parfaite sont incapables de respecter simplement le Droit élémentaire de la défense.
Les choses ne devraient pas s’améliorer avec le nouveau commissaire Nelly KROES : on connaît ses fréquentations, les « bonnes » et les mauvaises (voir portrait du 2 juin 2007).

 
Prenons un autre exemple : la libéralisation totale du marché postal européen, qui est prévu pour 2011.
Les eurocrates bruxellois ânonnent que la concurrence est créatrice d’emplois. Or, une note interne de la Poste française, qui s’appuie sur « les seules données empiriques récentes disponibles (…) révèlent des pertes nettes d’emplois, un redéploiement de l’emploi en faveur des temps partiels et des tendances fortes à la précarisation du travail ».
Depuis 2003, pour réduire leurs coûts, de nombreuses postes ont augmenté le nombre d’emplois partiels : TNT (Pays-Bas) a le record avec 70 % de temps partiels dans ses effectifs.
La libéralisation, conclue cette note interne de gens du métier, est destructrice d’emplois : en Allemagne, ce serait à ce jour une perte de 15.000 emplois, soit 10 % du total.   

A quoi reconnaît-on un fanatique ? Son incapacité d'accepter la réalité.
Les dogmatiques psychorigides de Bruxelles persisteront.

Alexandre Anizy

SARKOZY de NAGY BOCSA un héritier de MITTERAND

Publié le par Alexandre Anizy

En 1981, François MITTERAND ne se faisait pas d’illusions sur ses possibilités de durer politiquement. Pour faciliter une éventuelle réélection, il ne devait pas compter exclusivement sur les bienfaits de son programme et de ses réalisations économiques : mieux valait miser sur un affaiblissement de l’opposition grâce à l’irruption électorale de l’extrême droite, i.e. de Jean-Marie LE PEN.

Tout fut fait pour faciliter l’émergence de l’engin infernal dans le champ politique : la proportionnelle, l’utilisation d’une organisation satellite dont le discours généreux masquait une approche communautaire de la nation et une vocation de combat anti-LE PEN renforçant in fine le pouvoir d’attraction de ce tribun infréquentable.
Le cynisme de cette gauche en fit vomir plus d’un.
Vous connaissez la suite.

En 2007, à peine installé à l’Elysée, SARKOZY de NAGY BOCSA emploie la même stratégie pour faciliter sa réélection : dynamiter l’opposition.

Les faiblesses humaines n’ayant pas de limites politiques, il débauche à tour de bras pour réduire au silence cette opposition déjà déboussolée par une madone au parfum de Vichy ; il flatte l’orgueil des éléphants socialistes en les plaçant dans son jeu. Lorsque ce travail de sape sera achevé, la voie sera dégagée pour les futurs rivaux qu’il s’est déjà choisi et dont il veillera aux bons traitements dans les organes médiatiques appartenant à ses amis : Marie-Ségolène ROYAL et Bertrand DELANOË. Parce qu’avec ces deux-là, la réélection est très probable.

La manœuvre n’est pas subtile, mais elle paiera.
SARKOZY de NAGY BOCSA est un héritier de MITTERAND.

Alexandre Anizy

P.s : rappelons ici ce que nous écrivions dans notre note du 4 mai à propos du social - traître Eric BESSON :
« Eric BESSON est le socialiste qui a très vite claqué la porte du Parti Socialiste, publié un livre où il dézingue Marie-Ségolène ROYAL et s’est vautré sans vergogne dans le lit de l’UMP. Le prix de cette trahison est-il un maroquin en juillet ? ».
Ils n’ont d’ailleurs pas attendu juillet puisqu’il pouvait être utile dès le 1er gouvernement (d’intérim) de François FIILON.

REBSAMEN et DEVEDJIAN le sans-gêne

Publié le par Alexandre Anizy

François REBSAMEN le royaliste a répondu aux critiques de Laurent FABIUS sur la campagne présidentielle de la madone, qui portent sur 3 déficits, à savoir présidentialité, crédibilité et collégialité : d’abord en utilisant lui aussi l’argument des 17 millions d’électeurs qu’on injurierait avec le procès en crédibilité, puis en affirmant que celui de la présidentialité relèverait de l’amertume personnelle, et enfin en relevant que le critique FABIUS serait mal placé pour le procès de collégialité puisqu’il s’en serait affranchi dans un passé récent.
Il est drôle d’entendre le franc-maçon royaliste REBSAMEN parler ainsi de l’affranchissement.

Patrick DEVEDJIAN a insulté Anne-Marie COMPARINI en la traitant de salope. Le lendemain, à son ignominie il ajoutait la bassesse, puisqu’il osait parler de « respect et amitié » en lui présentant ses excuses.

Bienvenue dans le monde peu ragoûtant des politiciens.

Alexandre Anizy

Le Parti Socialiste est un espace sidéROYAL

Publié le par Alexandre Anizy

Les partisans de Marie-Ségolène ROYAL voudraient nous faire croire qu’elle incarne un Renouveau du parti socialiste. Rien n’est moins sûr. Pour nous, elle serait plutôt le signe d’une décomposition définitive.

17 millions d’électeurs, comme elle se plaît à le répéter dans toutes ses communications, c’est le plus mauvais score d’un candidat dit de gauche au 2ème tour présidentiel depuis 1965. Faut-il aussi rappeler qu’un tiers des électeurs de la madone ROYAL ne sont fondamentalement que des anti-SARKOZY de NAGY BOCSA ? (A contrario 10 % des suffrages SARKOZY de NAGY BOCSA sont des votes anti-royal)

Le diagnostic royaliste, conforme à celui des commentateurs bien informés, d’une droitisation de la France est faux : les enquêtes d’opinion (Dieu sait pourtant qu’elle les chérit !) recueillies avant et pendant la campagne montrent que c’est une France majoritairement à gauche en décembre 2006 qui place SARKOZY de NAGY BOCSA à l’Elysée.

Si ce potentiel initial n’a pas été transformé en vote, cela montre que l’absence de programme marqué idéologiquement chez le PS, auquel il convient d’ajouter le déficit de la madone par rapport au joggeur en matière de leadership, expliquent l’échec cuisant des présidentiels. La défaite relative des législatives confirme cette analyse : il n’y a pas de droitisation de la France.

Par conséquent, les signes d’un rapprochement même tactique avec le centre de François BAYROU est une erreur politique majeure, puisqu’il n’apporte aucun gain supplémentaire significatif par rapport au report habituel entre MoDem et PS.

 

Depuis 10 ans à la tête de l’appareil socialiste, François HOLLANDE n’a rien fait pour doter le parti d’une nouvelle ligne politique, de nouveaux outils idéologiques. Bien au contraire, d’aucuns le soupçonnent d’avoir alimenté les querelles partisanes pour mieux concilier les exigences contradictoires des tendances personnelles, i.e. sans clivage politique réel.

Pour Jean-Christophe CAMBADéLIS, « (…) l’immobilisme du Parti socialiste a pris sa source dans la candidature non avouée de François HOLLANDE à l’élection présidentielle ». Si elle n’est pas fausse, l’analyse est un peu courte. Il est vrai qu’aller plus loin implique une mise en cause de son mentor, Dominique STRAUSS-KAHN.

Pour Claude BARTOLONE (bras droit de Laurent FABIUS), « Une majorité de citoyens, en particulier les ouvriers et les salariés des régions en mutations économiques et sociales, n’a pas considéré que nous étions porteurs d’un projet qui puisse les rassurer sur leur avenir. » C’est une analyse plus politique que la précédente, et en tout cas plus essentielle pour la refondation du Parti.

En effet, le parti socialiste a perdu toute doctrine structurée, ne gardant de son « passé marxiste » qu’un squelette ridicule, i.e. son manichéisme, parce que les militants et les sympathisants ont toujours besoin d’une perspective utopique. C’est ce que leur a offert Marie-Ségolène ROYAL pour transcender le « vide politique socialiste » : une posture mystique et des références religieuses dignes d’un prédicateur et incongrues chez une vraie laïque. La madone s’est évertuée à exalter ses troupes et à materner la société française, en bâtissant sa campagne sur l’émotion et l’improvisation.

L’appareil du parti socialiste ne repose plus sur une doctrine structurée, car comment expliquer que ses sympathisants veuillent à la fois une alliance avec la LCR de BESANCENOT et avec le MoDem de BAYROU ? Le PS n’est plus qu’une étiquette lumineuse apposée sur des candidats sans conviction et sans idéologie, i.e. vides de sens.

On peut en conclure que le Parti Socialiste est un espace sidéroyal !

Alexandre Anizy

Marie-Ségolène ROYAL et une question morale

Publié le par Alexandre Anizy

Marie-Ségolène ROYAL, la madone du Parti Socialiste, nous chantait l’ordre juste et la moralité politique en prétendant incarner le renouveau  de ce mouvement quasi évangélique. Or, les masques sont tombés la semaine dernière.

D’abord, le couple qu’elle formait avec François HOLLANDE ne valait que pour l’administration fiscale (le concubinage) depuis un certain temps. Dans ces conditions, pourquoi avoir menti aux Français durant cette campagne présidentielle ?

Enfin, les Français ont appris la semaine dernière que Marie-Ségolène ROYAL n’approuvait pas 2 mesures économiques importantes de son programme : le SMIC à 1.500 € et les 35 heures. On est en droit de se demander si elle aurait réellement appliqué le programme qu’elle défendait sur les estrades, sous les préaux, sur les scènes et les plateaux de télévision. Prend-on au sérieux une girouette ?

Heureusement, les « vrais gens » ont du bon sens. Ils avaient compris l’embrouille : ils ont renvoyé l’énarque ROYAL à ses études (comment jouer la sincérité quand on aspire au leadership : séminaire de 2ème année, avec témoignages crédibles !).

Derrière la blancheur des tailleurs de Marie-Ségolène ROYAL se cache la grisaille du commun des mortels, ce qu’un oligarque comme la madone du PS ne peut pas dévoiler. Pour autant, l’incarnation du renouveau politique et morale peut-elle s’affranchir de la vérité ?

Alexandre Anizy

La belle histoire de Rama YADE

Publié le par Alexandre Anizy

En marketing comme en toutes choses, l’excès nuit. Nous avons dit la semaine dernière combien l’UMP nous semblait pratiquer cette discipline avec talent, notamment avec l’exposition et la promotion des minorités visibles. Si la tendance perdure, le cas de Rama YADE pourrait devenir un bon exemple de l'usage trop intensif de la communication.

D’abord, en matière d’ascenseur social, Rama YADE n’est pas franchement l’idéal – type (Cf. Max WEBER) : fille du secrétaire particulier de SENGHOR, un ancien ministre français sous la IVème République qui a toujours gardé des liens forts avec « la France qu’il connaissait », elle ne peut pas prétendre au rôle de l’immigrée misérable.

Ensuite, Rama YADE a intégré une hypokhâgne, puis Sciences Po : est-ce vraiment crédible son récit d’une maman courageuse qui doit faire face aux huissiers ? Avec en prime la petite Rama qui planque l’Encyclopédie Universalis parce que c’est la seule richesse de la famille (on appelle ça l’anecdote personnelle qui fait vrai et qui va marquer le public à plusieurs niveaux). Passons sur le début professionnel au Sénat de Christian PONCELET et l’ascension rapide.

Ce pourrait être le sujet d’une enquête de journaliste : qui es-tu vraiment Rama YADE ? Mais dans la France de SARKOZY de NAGY BOCSA, où les propriétaires des grands médias sont des amis du Président, il est sans doute mal vu de perturber le plan média général de la sphère gouvernementale.  

A défaut de vérification, nous prenons donc les anecdotes de Rama YADE pour ce qu’elles sont : une belle histoire…

Alexandre Anizy

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