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Portrait du médiocre Michel Barnier

Publié le par Alexandre Anizy

            La Bruyère avait raison !

 

« Les esprits justes, doux, modérés, (…) vont jusques à un certain point qui fait les bornes de leur capacité et de leurs lumières ; ils ne vont pas plus loin, parce qu’ils ne voient rien au-delà ; ils ne peuvent au plus qu’être les premiers d’une seconde classe, et exceller dans le médiocre. »

La Bruyère, Les caractères, dans Œuvres complètes, La Pléiade, 2009, page 88.  

 

« Il y a des gens qui parlent un moment avant que d’avoir pensé. Il y en a d’autres qui ont une fade attention à ce qu’ils disent, et avec qui l’on souffre dans la conversation de tout le travail de leur esprit ; ils sont comme pétris de phrases et de petits tours d’expression, concertés dans leur geste et dans tout leur maintien ; ils sont puristes, et ne hasardent pas le moindre mot, quand il devrait faire le plus bel effet du monde ; rien d’heureux ne leur échappe, rien ne coule de source et avec liberté : ils parlent proprement et ennuyeusement.

La Bruyère, Les caractères, dans Œuvres complètes, La Pléiade, 2009, page 155. 

 

En permanence les glaviots du tartuffe Boris Vallaud

Publié le par Alexandre Anizy

Le tartuffe Boris Vallaud passe à confesse et pleure misère.

 

Ayant hérité d’une circonscription en or (celle du député mitterrandien Henri Emmanuelli), l’énacrate Boris Vallaud a failli dégager le 7 juillet 2024. Comme ses complices, il ne comprend pas l’ingratitude des électeurs, lui qui a tant fait pour les gens de peu selon ses dires.

Mais la vérité finit par se savoir, même à Saint-Sever. Il est difficile de se dédouaner quand on a fait partie de l’équipage élyséen du culbuto molletiste François Hollande, comme le bankster Macron : lire notre ancien billet http://www.alexandreanizy.com/2019/10/8.les-tartuffes-socialistes-boris-vallaud.html

 

Risquant de recevoir le boulet de la défaite aux prochaines législatives, le parisien Boris Vallaud se met en scène en racontant la misère de France qui se déverse dans sa permanence électorale. De toute cette souffrance, le haut fonctionnaire puis député Vallaud n’y est pour rien, bien sûr. Oh ! Il fut bien malhabile à ses débuts parlementaires, tant il était encombré de lui-même… mais maintenant il sait : fi de la politique ! Il prône une démocratie fraternelle. « On me dira que la fraternité n’est pas un projet politique ? Je crois au contraire que c’est le seul qui vaille. » Plus de politique, pas de promesses, juste de l’amour ! Boris parle comme l’abbé Pierre !

 

Voilà le nouveau sermon du tartuffe Vallaud pour endormir les petites gens, comme le fait si bien sa Pimprenelle. Hélas ! Le mot socialiste continuera à sortir de la bouche de ce faux curé, comme autant de glaviots sur les tombes des Communards.

 

Alexandre Anizy