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Déjeuner chez Hélène Darroze

Publié le par Alexandre Anizy

Au Marsan précisément, puisque la dame œuvre dans plusieurs boutiques à Paris.  

 

Rue d’Assas, à proximité du palace Lutétia, le restaurant ne paie pas de mine, mais dès que vous franchissez la porte, le soin apporté au cadre ne peut pas ne pas vous échapper, étant dans une sobriété élégante.

A l’étage, vous passez devant la cuisine ouverte où l’équipe se prépare au coup de feu, puis vous entrez dans la salle, que des tables espacées et bien dimensionnées meublent sans ostentation.

Pour nous, cela semblait mal commencer, puisque le sommelier refusait de servir un Saint-Germain Spritz… en suggérant un cocktail à base d’Armagnac Darroze. Crénom ! La tendance à malmener la clientèle au nom de l’expérience impérative du Chef aurait-elle touché la Rive Gauche chic et vaguement réfractaire aux diktats de la mode ? Comme nous avons gagné au change, nous tairons notre réponse.

La suite ? Elle fut digne des étoiles qui récompensent l’établissement, avec le baba d’Hélène à l’armagnac en apothéose.

Et comme rien ne se perd ici, la pâtissière concocte aussi une surprise pour un final original à ne pas manquer.

 

Alexandre Anizy  

 

Kobzar de Taras Chevtchenko

Publié le par Alexandre Anizy

Que fait l’éditrice ?  

 

Taras Chevtchenko est le grand poète de langue ukrainienne, précise-t-on en 4ème de couverture de Kobzar (éditions Bleu et Jaune, 2023), qui est l’œuvre d’une vie (1500 pages environ), dont on ne publie ici que le premier opus de 114 pages, sans appareil critique. C’est pourquoi le lecteur reste sur sa faim, au mieux.

 

Si l’ambition de l’éditrice était de mettre en valeur le Grand Kobzar, alors c’est un Morceaux choisis qu’il eût fallu concocter.

 

Alexandre Anizy  

L'Hommage de Jonathan Lor

Publié le par Alexandre Anizy

            Le panel bistronomique de Paris 13ème s’étoffe.

 

Au cœur du quartier chinois, 36 avenue de Choisy, Jonathan Lor a rameuté quelques potes pour reprendre le restaurant asiatique où bossait son père, en le transformant. Sa proposition culinaire n’a rien à voir avec l’offre pléthorique locale, et elle enchante déjà les gens du quartier : de la bistronomie à prix doux… que demande le peuple !

Si vous passez par là, rendez-lui… visite.

 

Alexandre Anizy