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La belle histoire de Rama YADE

Publié le par Alexandre Anizy

En marketing comme en toutes choses, l’excès nuit. Nous avons dit la semaine dernière combien l’UMP nous semblait pratiquer cette discipline avec talent, notamment avec l’exposition et la promotion des minorités visibles. Si la tendance perdure, le cas de Rama YADE pourrait devenir un bon exemple de l'usage trop intensif de la communication.

D’abord, en matière d’ascenseur social, Rama YADE n’est pas franchement l’idéal – type (Cf. Max WEBER) : fille du secrétaire particulier de SENGHOR, un ancien ministre français sous la IVème République qui a toujours gardé des liens forts avec « la France qu’il connaissait », elle ne peut pas prétendre au rôle de l’immigrée misérable.

Ensuite, Rama YADE a intégré une hypokhâgne, puis Sciences Po : est-ce vraiment crédible son récit d’une maman courageuse qui doit faire face aux huissiers ? Avec en prime la petite Rama qui planque l’Encyclopédie Universalis parce que c’est la seule richesse de la famille (on appelle ça l’anecdote personnelle qui fait vrai et qui va marquer le public à plusieurs niveaux). Passons sur le début professionnel au Sénat de Christian PONCELET et l’ascension rapide.

Ce pourrait être le sujet d’une enquête de journaliste : qui es-tu vraiment Rama YADE ? Mais dans la France de SARKOZY de NAGY BOCSA, où les propriétaires des grands médias sont des amis du Président, il est sans doute mal vu de perturber le plan média général de la sphère gouvernementale.  

A défaut de vérification, nous prenons donc les anecdotes de Rama YADE pour ce qu’elles sont : une belle histoire…

Alexandre Anizy

Leif DAVIDSEN vaut MANKELL ou NESBO

Publié le par Alexandre Anizy

Nous avons découvert cet auteur danois avec son livre « la femme de Bratislava » (folio janvier 2006 ; éditions Gaia 2004, édition originale Danemark en 2001).
Du grand art. Rien à jeter dans cette histoire policière dans le monde de l'espionnage sur fond de guerre des Balkans.

Puisque quand on aime, on ne compte pas, nous avons enchaîné avec "le Danois serbe" (éditions Gaïa 2001) : un franc-tireur serbe bosniaque est recruté par la mafia russe, qui a accepté un contrat de l'Iran sur une femme écrivain, genre Rushdie. La cible sortira de la clandestinité à Copenhague.  Une histoire bien ficelée et bien écrite.

Nous plaçons Leif DAVIDSEN à la hauteur de Henning MANKELL, ou de  Jo NESBO dont nous avons parlé dans une note précédente.

Alexandre Anizy

Christian PONCELET un homme pas ordinaire

Publié le par Alexandre Anizy

Le président actuel du Sénat Christian PONCELET, 3ème personnage de l’Etat, multiplie les points de friction avec les autorités judiciaires : il se dit victime d’une tentative de déstabilisation.

En 1991, un intermédiaire financier suisse lui adresse un courrier où il écrit sans ambiguïté que « votre banque (la South Florida Bank Holding Corporation) a profité d’une bonne année 1990 » : PONCELET serait donc un actionnaire masqué d’une banque en Floride. Révélée par la presse en juillet 2005. Suite ?

Le 5 avril 2006, le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour "recel d’abus de biens sociaux" visant Christian Poncelet. Des documents montraient que France Télécom s’était inquiété à plusieurs reprises de la « mise à disposition sans contrepartie » d’une personne depuis 1972 !   En janvier 2000, Mme XX quitta officiellement la société, prenant, à 57 ans, une retraite anticipée avec le grade de directrice départementale ( !) : aussitôt recrutée par le Sénat au salaire mensuel de 4 430 €. Affaire classée sans suite en novembre 2006.

Le 5 juin 2007 une enquête préliminaire pour des faits de "trafic d'influence" susceptibles d’impliquer Christian Poncelet est ouverte par le Parquet de Paris. Affaire à suivre. Pour le classement ?

Pour cet homme pas ordinaire, les enquêtes se suivent … elles sont le cadet de ses soucis.

Alexandre Anizy

Christine LAGARDE à Bercy, les paysans soulagés !

Publié le par Alexandre Anizy

Mme Christine LAGARDE a fait sa carrière de juriste aux USA et elle a dirigé le plus gros cabinet d’avocats Baker & Mc Kenzie à Chicago (2.400 associés). Personne ne conteste cette expertise.

Mais depuis qu’elle grenouille dans les ministères parisiens, on ne peut pas dire qu’elle ait révélé d’autres talents. Son passage au Ministère du Commerce Extérieur se solde en 2006 par LE DEFICIT RECORD de la balance commerciale depuis 1980. Dans ce domaine, Christine LAGARDE a déjà montré son inefficacité. C’est peu de l’écrire.

Après l’élection présidentielle, le nouveau Premier Ministre lui avait confié le Ministère de l’Agriculture : celle qui n’a pas dû voir beaucoup de vaches dans une étable pendant la traite, n’y salira donc pas ses tailleurs de griffes.
Les paysans et les vaches respirent.

Suite à la tuile d’Alain JUPPé aux législatives, le jeu des chaises musicales a porté la juriste « mondialement connue à l’étranger » à la tête du Ministère de l’Economie. Pour les soldes chez MACY*S ou un bon plan chez TIFFANY, nous ne doutons pas de ses possibilités.

Mais pour l’économie, on peut  toujours attendre la preuve d’une expertise (un doctorat ? un DEA ? une Maîtrise ?) ou bien d’une longue expérience de gestion budgétaire en tant qu’élue d’une commune, d’un conseil général, d’un conseil régional, etc. …

Il faut croire que son incompétence rassure.

Alexandre Anizy

Un WENDEL bouté hors de Lorraine

Publié le par Alexandre Anizy

Dans la 8ème circonscription de la Moselle, l’UMP présentait un candidat spécial, Alain MISSOFFE, membre de la famille WENDEL. Quelle erreur pour un parti qui pratique la mercatique quotidiennement et d’habitude talentueusement ! Car enfin, amener un WENDEL sur le terrain des exploits familiaux, il faut être soit ignares soit provocateurs.

Qui sont les WENDEL ? Les fondateurs des forges du Creusot, ce sont eux ; la sidérurgie en Lorraine, toujours eux. Au XXème siècle, les industries de la famille de Wendel atteignent leur apogée. François de WENDEL, député puis sénateur, président du Comité des Forges, régent de la Banque de France, est considéré comme un des principaux acteurs d'une politique conservatrice, farouchement anti-front populaire.

« A en croire une note des RG de juillet 1935, François de WENDEL n’était pas d’un autre avis : il soutenait LAVAL de toute son influence, rapportait-on, parce qu’il voyait en lui la dernière chance du régime. En cas d’échec, la partie se jouerait entre la gauche et la droite ; ne négligeant pas cette hypothèse, il aidait financièrement LA ROCQUE dont les troupes auraient alors un rôle essentiel à jouer (…) » (Philippe BURRIN, « la dérive fasciste », Seuil, page 193.)

Pour ceux qui ne comprendraient pas, de WENDEL finançait une ligue nationaliste et paramilitaire, les Croix de Feu (les 3 piliers idéologiques du mouvement sont « Travail, Famille, Patrie », dans un esprit de « réconciliation nationale » : c’est du PETAIN avant l’heure) du Comte François de LA ROCQUE, qui sera dissoute en 1936 comme les autres ligues fascistes.

« (…) même si DORIOT persista dans son refus d’un antisémitisme de principe, pour des raisons qui n’étaient pas désintéressées, semble-t-il ; c’est ce qui semble pouvoir être inféré d’un entretien qu’il eut en novembre 1938 avec WENDEL et au cours duquel ce dernier, qui comptait probablement parmi les subventionneurs du parti, le mit en garde contre l’antisémitisme. » (Philippe BURRIN, « la dérive fasciste », Seuil, page 296).
On ne peut pas dire que WENDEL eut un comportement absolument républicain dans les années 30.

Le 10 juillet 1940 à Vichy, le sénateur François de WENDEL n’a pas pris part au vote (pour les pleins pouvoirs à PETAIN) comme s'étant excusés de ne pouvoir assister à la séance, ce qui est quand même moins glorieux que de voter contre.

Mais la Révolution nationale de PETAIN ressemblait tant au programme des Croix de Feu.

Le Comité des Forges fut dissous par le gouvernement de Vichy en 1940 et remplacé par le Comité d'organisation de la sidérurgie (La Chambre syndicale de la sidérurgie française lui succéda en 1945). Le maître des forges François de WENDEL était très hostile aux occupants allemands, ce qui le différenciait de PETAIN.

Cette famille a saigné la terre de Lorraine pendant un siècle, puis après avoir retiré ses avoirs, la société Wendel et Cie passant en 1978 sous la coupe des banques d'État avant d'être formellement nationalisée en 1981 pour se fondre dans Usinor-Sacilor puis Arcelor, elle a laissé le sale boulot à l’Etat, c'est-à-dire traiter socialement le désastre économique lorrain (un certain Jacques CHéRèQUE a participé à cette action).

Sous l'égide du Baron Ernest Antoine SEILLERE de LABORDE (un descendant, comme Françoise de PANAFIEU), la maison de Wendel est devenue sous une autre dénomination une société d'investissement, rebaptisée depuis peu WENDEL Investissement, qui vient de racheter EDITIS (n° 2 français de l'édition) et qui détient des participations chez le fabricant de matériel électrique Legrand, la société internationale de certification Bureau Véritas, etc.

C’est un membre de cette famille au passé pas toujours très républicain et démocrate qui vient d’être battu aux législatives : nous en sommes heureux.

L’élue s’appelle Aurélie FILIPPETTI : c’est une bobo du 5ème arrondissement de Paris qui a jailli, à peine sortie de l’ENS, dans le milieu politique grâce aux Verts. Ambitieuse, avant la débâcle de son parti, elle s’est ralliée à Marie-Ségolène ROYAL, ce qui n’est pas une référence à nos yeux, vous l’avez compris.

Aurélie FILIPPETTI est une fille d’ouvrier lorrain. Elle est l’auteur d’un roman intitulé « les derniers jours de la classe ouvrière » (poche, 4,75 €). Elle a fait campagne, ce qui était judicieux, sur son origine sociale et contre la famille WENDEL. Le front classe contre classe a encore de beaux jours devant lui, n’est-ce pas madame FILIPPETTI ?

Alexandre Anizy

Le marketing de l'UMP : Rama YADE, Rachida DATI

Publié le par Alexandre Anizy

Comme elle était charmante Mademoiselle Rama YADE, lorsqu’elle nous récitait son petit texte dimanche soir sur les grandes chaînes de télévision. Sa pugnacité nous amusait aussi.

Si elle appartient à la « minorité visible », elle ne vient quand même pas de n’importe où ! Son père, dit-elle, était le bras droit de SENGHOR : ça ne pouvait pas nuire pour l’entrée à Sciences-Po et la suite professionnelle de mademoiselle.

Quant à Madame Rachida DATI, elle était plus sobre, voire modeste, ce qui devient un exploit pour elle : comme Jean-Louis BORLOO, elle devait avoir de la peine à avaler le « succès mesuré » au lieu de la « vague bleue ».

En face, les socialistes pavoisaient déjà, du moins ceux qui voudraient que rien ne change dans l’appareil du parti : « j’y suis, j’y reste » en quelque sorte. Mais ce qui nous choque, c’est vraiment l’absence de personnes issues des minorités dans ce parti, qui a si bien su organiser la marche des beurs et canaliser l’émotion naturelle face au racisme (via ses satellites). Par conservatisme, les socialistes n’ont pas poursuivi leur effort, préférant rester au stade des bonnes œuvres.

L’UMP de SARKOZY de NAGY BOCSA a sauté dans le train de la diversité. Ils ne ratent aucune gare, ils explorent toutes les voies : en plus, ils dénichent des talents et savent les mettre en valeur !
Quelle leçon de marketing face aux bondieuseries ringardes !

Alexandre Anizy

Les couples SARKOZY de NAGY BOCSA et ROYAL unis pour la conquête du pouvoir

Publié le par Alexandre Anizy

Ah ! Comme ils étaient beaux sur les photos ces 2 couples que la conquête du pouvoir galvanisait.

Dimanche soir, patatras ! Le bon peuple de France apprend que Marie-Ségolène ROYAL a rendu sa liberté à François HOLLANDE : ils ne vivaient plus ensemble depuis un certain temps.  

Il est vrai que dimanche soir, regarder François HOLLANDE retrouver sa mine réjouie (content de lui, le bougre !) face au succès du PS, avec à ses côtés une charmante Anne HIDALGO, ce devait être insupportable pour la madone du PS qui souhaite s’emparer rapidement de l’appareil du parti.

Il fallait reprendre la main pour ne pas laisser une chance au statu quo, qui a souvent profité à son ex-concubin.
Quitte à déplacer le combat politique vers le champ privé (le terme est vraiment impropre : il conviendrait de ne parler que d’un combat de chefaillons, où la politique est un voile cherchant à masquer l’ego surdimensionné des prétendants).

10 ans plus tard, nous n’avons plus rien à envier aux USA : Marie-Ségolène vaut bien Hillary.
Il nous revient quelques mots d’une chanson de Jacques HIGELIN :
« (…) dans 10 ans, là-bas comme ici : asphyxie, asphyxie… (…) ».

Alexandre Anizy

Pour l'héritière PARISOT, charité bien ordonnée ...

Publié le par Alexandre Anizy

Laurence PARISOT connaît ses classiques et sait les appliquer tous les jours. Prenons deux exemples.

D’abord, l’héritière PARISOT veut être la maîtresse dans son domaine : elle ne supporte pas les entraves à sa liberté … d’entreprendre, et le code du travail est un frein évident à son appétit … de création.

Les patrons du MEDEF sont d’habiles politiques : après la refondation archéo-libérale du Baron SEILLIERE de LABORDE, ils ont jugé utiles de confier à une femme le soin de pilonner le code honni du travail. Elle s’y emploie à temps plein (depuis 8 mois, dit-elle) et réussira sa mission : pour casser ce code, elle trouvera toujours un syndicat jaune pour signer.
En parlant de syndicat, elle pose des questions sur leur représentativité… Espérons qu’elle aura le sens de la mesure et la sagesse de ne pas imiter la société SIEMENS, qui finançait un petit syndicat « ami » pour qu’il gratte le poil du légitime.

Force est de constater que l’héritière PARISOT garde son cap contre vents et marées. D’aucuns pourraient en prendre de la graine.
Mais, Madame,
« Précariser à perdre la raison,
Est-ce bien là votre unique ambition ? »

Enfin, pour l’héritière PARISOT, « la TVA sociale ne peut avoir d’intérêt que si elle permet de transférer vers la TVA une partie des charges des entreprises, notamment les cotisations familiales. » (Figaro 14 juin) Pendant la campagne électorale, nous nous posions la question : pourquoi cet adjectif « social » ? Nous avons la réponse du MEDEF : transfert de charges sociales payées par les entreprises vers les clients (pardon, les consommateurs).
L’héritière PARISOT s’est donnée une autre grande mission : il faut sauver le patron français, qui croule sous les taxes, charges, impôts, que savons-nous encore ?.

Admirons la cohérence du système de l’héritière PARISOT : « On ne peut plus penser l’économique sans le social ». (Figaro 14 juin)
Avant, en tant que patronne, elle n’était obnubilée que par ses charges ; maintenant, elle pense à vous lorsqu’elle veut que vous puissiez travailler plus pour gagner plus … parce que vous allez bientôt dépenser plus.
Consommer plus ? Non, dépenser plus. 

Alexandre Anizy

L'actualité de Roger VAILLAND

Publié le par Alexandre Anizy

Les élucubrations des uns et des autres sur le « travailler plus pour gagner plus » et l’enthousiasme de la patronne du MEDEF, l’héritière PARISOT (voir note d’hier), nous ont ramenés à la littérature : au livre « 325.000 francs » (poche, 3,33 €) de Roger VAILLAND précisément.

Cette histoire d’ouvriers qui décident de travailler plus, beaucoup plus, pour sortir de leur condition, nous semble particulièrement d’actualité. La fin donne à méditer.

Peu importe le parcours politique de l’écrivain ou son éthique de libertin.

Alexandre Anizy

L'héritière PARISOT

Publié le par Alexandre Anizy

La patronne du MEDEF Laurence PARISOT est une héritière ordinaire (276ème fortune de France, selon le classement des 500 premières fortunes de France en 2006, publié par le magazine Challenge) : née en 1959, elle a fait son Droit à la faculté de Nancy pour intégrer ensuite Sciences-Po Paris ; en 1985, à peine a-t-elle commencé à travailler à l’Institut Louis Harris, qu’elle est bombardée Directeur ; bien sûr, cette promotion n’était que le fruit de son travail et de son expérience (savoir-faire technique) dans le métier des sondages.

Lorsqu’elle prend la tête du MEDEF, avec l’appui du Baron Ernest Antoine SEILLIERE de LABORDE, elle entend poursuivre l’œuvre de refondation archéo-libérale de son prédécesseur aristocrate. A notre avis, le résultat escompté est la restauration des 200 familles.

Laurence PARISOT doit être darwinienne : 
« La vie, la santé, l'amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il à cette loi ? », (Le Figaro, 30 août 2005). Vu comme çà… Le 3 septembre, elle remet une couche, sur France Inter, en affirmant que « La précarité est une loi de la condition humaine. ». C’est peut-être la raison supérieure pour laquelle elle combat le code du travail dans sa forme actuelle : il met trop de sécurité dans un parcours professionnel. Pour résumer la position du MEDEF, on pourrait dire qu’il faut remettre de « l’incertitude radicale » (expression keynésienne) dans le contrat de travail.
Ajoutons que si la précarité de la condition humaine est une loi de la nature, il importe de ne pas y toucher, sinon la loi de la sélection naturelle serait contrecarrée, ce qui constitue un mauvais choix pour l’humanité.

Pour une personne qui a appris le Droit, Laurence PARISOT a une curieuse vision des textes juridiques lorsqu’elle dit (à l'Assemblée générale du MEDEF en janvier 2005, i.e. entre soi) : « La liberté d'entreprendre s'arrête là où commence le code du travail ». Diantre ! Que fait donc le Conseil Constitutionnel si un code est un obstacle à une liberté ?
Mais nous y sommes : il ne s’agit que du cadre légal des relations employeurs / salariés, qui s’oppose à la loi de la sélection naturelle.
Pour les autres codes, tout va bien, merci, et la justice (c’est le mot que les gens de ce métier emploient) est bien rendue. Que l’ordre social perdure !

Concernant la jeunesse, Laurence PARISOT avait eu, un jour, un trait d’esprit :    « L'état de jeune, c'est un passage, une maladie dont on guérit ». Au moment où les émotions semblent guider nos concitoyens, nous complétons : femme, c’est un genre, pas une qualité.

Alexandre Anizy