GALOUZEAU de VILLEPIN joue une fausse note
Un inspecteur CLOUZEAU du renseignement français ne savait pas qu’un ordinateur est capable de révéler ce qu’on croit avoir effacé, totalement effacé : du coup, les petits soldats du Droit ont désormais les armes pour se faire plaisir, puisque les digues du Général RONDOT ont lâché. Ils ne s’en priveront pas.
Oh là ! Comme vous allez vite en besogne !
Vous parlez d’un « grand » serviteur de l’Etat, même s’il n’a « qu’une passion, lui-même, et une religion, le pouvoir » (FOG, toujours).
C’est bien pour cela que nous ne sommes pas inquiet pour Dominique GALOUZEAU de VILLEPIN : dans l’état actuel des choses, au pire, vraiment au pire, ce serait peut-être quelques mois avec sursis. A son âge et pour un homme de son acabit, ce serait une piqûre de moustique inoffensif.
Ce n’est qu’une situation ridicule et passagère dont il faut rire, car elle sera sans conséquence pour le spectacle.