Doggerland : Elisabeth Filhol a presque réussi
Elisabeth Filhol devrait partager sa matière avec une freluquette comme Vanessa Schneider, dont le talent est inversement proportionnel à la densité de son réseau médiatique.
D'abord il faut souligner le rythme décent des publications de Mme Filhol, qui prend le temps de travailler ses sujets : Doggerland (P.O.L, janvier 2019, en livrel) le montre une nouvelle fois.
Ce dernier roman, plus réussi que le précédent ( lire ici ) quant au procédé narratif de l'auteur, donne à penser que le prochain pourrait être son chef-d'œuvre.
Alexandre Anizy