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Puisque rien ne dure avec Laurence Tardieu

Publié le par Alexandre Anizy

 

Lire doit toujours être un plaisir.

Avec Laurence Tardieu, il s'est arrêté à la première page de « puisque rien ne dure » (Stock, septembre 2006, 128 pages, 13,50 €).

 

 

Alexandre Anizy

 

"Si nous durions sans fin" selon Bertolt Brecht

Publié le par Alexandre Anizy

 

« Si nous durions sans fin

Tout changerait sans cesse

Or, nos jours sont comptés

Et peu de choses changent. »

 

      « Dauerten wir unendlich

        So wandelte sich alles

        Da wir aber endlich sind

        Bleibt vieles beim Alten. »

 

                       Bertolt Brecht 


7 septembre : DEBOUT ! une suggestion d'Albert Ehrenstein

Publié le par Alexandre Anizy

 

Par les temps qui courent, écoutons le poète allemand Albert Ehrenstein (1886 – 1950).

 

« Assourdi par les braillements patriotiques

Des sauvages ivres d'enrôlement sur le sentier de leur guerre.

Tremblant comme celui que le médecin

A dit bon pour la mort,

L'homme blêmit, malade

De la soupe de sang dans l'invidable marmite.

Des taches de soleil couvrent la terre d'ombres.

 

Les piles de cadavres

Froids rangés en paquets raidis entourent

La mare, enfer, ton lac.

L'impuissant passeur

attrape la rame mesquine,

Démolit la barque -

A son service jour et nuit il a des forces

De paquebots torpillés qui sont

Ses nacelles funèbres.

 

Abattez donc les marteaux

Sur les crânes des tueurs. »

 

« Debout ! »d'Albert Ehrenstein

 

 

 

 

 

 

Orages ordinaires chez William Boyd

Publié le par Alexandre Anizy

En avril 2010, William Boyd publiait un roman, « orages ordinaires » (Seuil, 476 pages, 21,80 €). Une occasion de découvrir cet écrivain anglais.

 

Il n'y a rien d'exceptionnel dans ce livre, juste un bon travail d'orfèvre : une histoire savamment construite, une écriture sans fioriture qui colle à l'action.

 

Nous avons pensé à Douglas Kennedy en lisant cette "rebirth".

Comme lui, William Boyd est un bon écrivailleur.

 

 

Alexandre Anizy

 

François Chérèque le jaune joue contre son camp

Publié le par Alexandre Anizy

Quasiment à la veille d'une journée d'action capitale pour les salariés, François Chérèque le jaune prend la parole (bien relayée par la presse des amis du Président Sarkozy de Nagy Bocsa), pour émettre des propositions d'ordre secondaire par rapport à l'enjeu.

Petits calculs de boutiquiers.

Cela s'appelle jouer contre son camp : une habitude de la CFDT.

 

 

Alexandre Anizy

 

Pour un Rom, Martine Aubry vaut bien Sarkozy de Nagy Bocsa

Publié le par Alexandre Anizy

En juillet, sur les terres dont elle a héritée politiquement (la fille de Jacques Delors n'a jamais eu d'effort à faire dans sa carrière), Martine Aubry avait demandé l'expulsion de Roms.

Pour un Rom, Martine Aubry vaut bien Sarkozy de Nagy Bocsa.

Pour quelques citoyens français aussi, à tous les égards.

 

 

Alexandre Anizy

 

PS :

on comprend le silence embarrassé de la dame durant le mois d'août ;

on voit bien la perversité du pouvoir, qui ne pouvait pas ne pas ignorer la demande d'expulsion formulée par Martine Aubry.