Le colibri de Sandro Veronesi
Garder raison pour Veronesi…
Les années et les livres passent (lire ici ), bonifiant le talent de Sandro Veronesi, non pas le style - quoiqu’il puisse y avoir débat sur ce point :
« Patatras ! Les soixante premières pages furent assez pénibles (bon Dieu, le style !), puisqu'on a failli fermer définitivement le livrel, mais nous avons résisté stoïquement à cause de l'architectonique minutieuse... qui frise l'improbabilité. Au bout du texte : l'insatisfaction. » (lire ici ) -,
mais l’architecture. Avec Le colibri (Grasset, 2021), la fin fut heureuse.
Alexandre Anizy