A Matignon, le casse-tête de la ligue libérale radicale

Publié le par Alexandre Anizy

            La France boira jusqu'à la lie le Macron pas-Nouveau : l'organigramme de son entreprise le démontre.  

 

 

            A l'Elysée, le bankster Macron garde toujours son directeur, le fidèle Alexis Kohler dont les Français savent maintenant grâce à Mediapart qu'il veille plus aux intérêts financiers de sa famille qu'au pouvoir d'achat des premiers de corvée.

            A Matignon, le bankster a changé de factotum (l'énacrate sarkozyste Jean Castex remplace l'énacrate juppéiste) et pour être sûr d'être bien suivi, il lui a collé l'énacrate Nicolas Revel comme directeur (1), un personnage avec qui il s'entendait « comme larrons en foire » selon notre source.

            Nicolas Revel est le fils de Jean-François Revel (un libéral tendance guerrière) et de Claude Sarraute (une journaleuse cultivant un féminisme de bon aloi : de l'imMonde elle finira chez Ruquier... nobody is perfect), demi-frère du moine bouddhiste Matthieu Ricard (son innocence lui rapporte beaucoup) : avec un tel pedigree, il paraît que « Revel, c'était vraiment un mec de gauche » (toujours la même source, citant un autre anonyme...).

 

            La ligue libérale radicale ratisse large, et elle dit n'importe quoi. C'est pourquoi elle tient la France et qu'elle s'apprête à cogner dur (le bankster ne vient-il pas de rencontrer ses premiers commanditaires - donateurs pour leur jurer notamment qu'il n'a pas changé ?).

 

 

 

Alexandre Anizy

 

 

(1) Journal du Dimanche du 5 juillet 2020 : « Avec cette nomination, le premier signal de Jean Castex, c'est un gage très fort donné au Président. La garantie d'un alignement permanent entre les deux têtes de l'exécutif. » (propos d'un proche anonyme, rapporté par le journaleux David Revault d'Allonnes, fils d'une philosophe pas terrible mais bien en cour)

 

Publié dans Notes politiques

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