Nicol au rebut (non, pas la Belloubet)

Publié le par Alexandre Anizy

            Juste un auteur sud-africain à éviter.

 

 

            Franchement, la lecture de L'agence (Gallimard série noire, 2019) de Mike Nicol a au moins un mérite :  elle met en lumière Deon Meyer (lire ici ).  

            Echantillons :

            « Ils se retrouvent sur le parking au sommet des Tampon Towers. Conformément aux ordres. Au vu et au su de tous. En fin d'après-midi. Tout en bas. Le Cap transpire dans la fournaise et l'humidité. La chaleur émane des montagnes comme d'un haut-fourneau, par pulsations. » (incipit)

            « Un avion en provenant de Joburg atterrit. Fish reconnaît certains visages : des députés, des PDG, des hommes d'affaires. Des visages souriants. Des personnes de bonne humeur. D'humeur festive. » (p.350/428)  

            Des textes de cet acabit, Jean Esch a pu en traduire 10 par an dans sa carrière.   

 

 

Alexandre Anizy

 

Publié dans Notes culturelles

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