L'arrogance du tricheur jouisseur Macé-Scaron
En août, une lectrice a pris Joseph Macé-Scaron la plume dans le pot de confiture : les intellectuels surmenés ou fainéants doivent maintenant savoir que la méthode du copier – coller est obsolète, que le maquillage de l'intertextualité ne leurre même plus les gogos. Le plus étonnant dans cette histoire de médiocrité, c'est que cette révélation soit arrivée sur la place publique.
Chers internautes rions, une nouvelle fois pour nous, des petites bassesses de Macé-Scaron. (ah ! son acte tardif de contrition...)
Le 13 janvier 2009, nous avons publié ici-même une note titrée "Mourir d'ennui pour Dantzig ?"
( http://www.alexandreanizy.com/article-26717251.html )
Quelques temps après, nous tombons sur la chronique de JMC dans Marianne, l'hebdomadaire de la morale et de la vertu républicaine qui semble les mettre en veilleuse ces jours-ci. Quelle coïncidence ! Nous décidons alors d'envoyer la lettre ironique ci-dessous.
Et nous reçûmes le courriel ci-dessous.
Cette réponse, que le roitelet des lettres Joseph Macé-Scaron n'était pas tenu de faire, souligne le sentiment d'impunité qui trottait dans le crâne du caméléon du Marais, dont l'arrogance du tricheur jouisseur n'est que le corollaire.
Ainsi roule la France moisie.
Alexandre Anizy