Les Verts minent la Politique

Publié le par Alexandre Anizy

 

En politique, les partis écologistes ne sont que les véhicules momentanés des politiciens opportunistes (on peut réécouter la chanson de Jacques Dutronc) : pour la France, citons les cas de Christophe Girard et d'Aurélie Filippetti (cf. les notes sur ces 2 zozos). Sous la houlette de la fluctuante Cécile Duflot, les Verts viennent de signer un accord électoral avec le PS pour les législatives 2012, qui est un bon exemple de la bassesse politicienne.

 

En effet, on peut résumer ainsi ce pacte : nous oublions nos exigences sur l'arrêt du nucléaire contre un certain nombre de circonscriptions réservées nous assurant la probable constitution d'un Groupe de députés Verts à l'Assemblée nationale en 2012.

Ce qui n'est pas assez dit dans les médias : le parti de Duflot coulant financièrement à pic (au bord de la faillite, selon leur trésorière Éva Sas), il devait impérativement vendre ses convictions contre des parts de marché (i.e. un minimum de 1,5 millions de voix aux législatives de 2012, sachant qu'une voix rapporte 1,70 € de l'État), selon Marianne, l'hebdomadaire moraliste qui emploie un directeur tricheur, le dénommé Macé-Scaron (cf. note sur le plagiaire).

 

Le comportement vénal du parti des Verts mine la politique, puisqu'il confirme l'absence d'éthique chez des prétendants aux fonctions électives.

 

 

Alexandre Anizy