Mauvais augure pour Donna Leon
Cela faisait longtemps que nous n’avions pas lu Donna Leon, mais lors d'un déplacement en province nous optâmes pour Brunetti et le mauvais augure (Calmann-Lévy, en livrel, 14,99 € - un prix honteux !).
On redécouvre le commissaire, sa famille et ses collègues, dont la secrétaire Elektra qui semble jouer un rôle plus important dans le paysage vénitien de l’auteur. Au début, on apprécie de retrouver ces personnages dans leur jus ; puis on se lasse des scènes qui ont un air de déjà vu.
Donna Leon aura-t-elle la sagesse d’un Ian Rankin, qui mit un terme aux enquêtes de John Rebus ?
Alexandre Anizy