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Pascal CLéMENT un ministre partial et insignifiant

Publié le par Alexandre Anizy

Alors que Monsieur Pascal CLéMENT a rappelé à l’ordre une magistrate de Colmar, qui s’est engagée publiquement en faveur de Marie-Ségolène ROYAL ;
Alors que l’avocat général Philippe Bilger l’a fait pour Nicolas SARKOZY de NAGY BOCSA, sans être tancé ;
Alors que le juge Bruguière (le célèbre juge d’instruction qui fait peur aux terroristes) annonce dans la presse nationale, sans problème, sa candidature aux législatives sous l’étiquette UMP ;
Force est de constater la partialité du ministre Pascal CLéMENT.

Alors que le peuple s’est ému de la gestion catastrophique de l’affaire d’Outreau par un juge d’instruction novice ainsi que par un procureur qui ne commet que des erreurs de sémantique ;
Alors que d’aucuns pensaient que le ministre Pascal CLéMENT avait pris toute la mesure des manquements de l’administration judiciaire ;
La loi concoctée sous son autorité et présentée au Parlement s’est vue dépouillée des rares mesures qu’elle prétendait apporter en réponse aux problèmes révélés par les affaires : à chaque étape (la dernière étant le Conseil Constitutionnel), comme dans un strip-tease, on retirait quelque chose à ce texte rédigé dans la hâte pour être agité devant la populace.

Force est de constater que l’apport de Monsieur Pascal CléMENT dans le Droit français restera insignifiant.  

Alexandre Anizy

Philippe SOLLERS un voyant

Publié le par Alexandre Anizy

C’est ce trait particulier de Monsieur Philippe SOLLERS que nous voudrions mettre en exergue, parce que son article dans le Journal du Dimanche du 25 mars 2007 le démontre. Que dit-il ?

Dans un cauchemar, il se voit convoqué par le gouvernement d’Union au ministère de l’Identité Nationale, où il doit répondre aux questions d’un jury composé de Le Pen, Sarkozy de Nagy Bocsa, Bayrou, Royal, sur ses origines, sa connaissance de la langue, ses lectures préférées, et où il doit apporter la preuve qu’il ne descend pas d’immigrés entrés clandestinement en France.
Bien entendu, cela se passe mal pour le joyau de la littérature germanopratine : son expulsion est immédiatement requise.

Dans ce texte ironique, Monsieur Philippe SOLLERS, tel un voyant, perce la face noire, le côté obscur de la Force, de chaque membre du jury : l’intelligence de ce troubadour moderne brille comme une étoile au centre de l’Empire … du Milieu. Sera-t-il pris au sérieux ? Evidemment, non.
Car Monsieur Philippe SOLLERS a écrit ou dit tellement de conneries dans le passé, que personne ne prend en considération les propos de ce clown joyeux : on ne rit que de l’esprit de l’artiste qui fait son numéro.
Dans ce cas précis, c’est dommage.

Pierre LUNEL un esbroufeur à Paris VIII

Publié le par Alexandre Anizy

Ce monsieur Pierre LUNEL était donc particulièrement compétent pour écrire et publier il y a quelques mois : « Fac, le grand merdier ? ».

En effet, à la lecture de l’article du Canard Enchaîné du mercredi 4 avril 2007, nous enrageons : il est insupportable de savoir que notre Université (souvenirs, souvenirs…) a été dirigée et « sucée » par cette grande gueule qui avait créé une PME rentable vivant aux frais de la fac Paris VIII !

Actions de ce héraut du Nord-Sud :

·        Monter une Quinzaine d’associations qu’il animait … ;

·        Beaucoup de Frais des dites associations pris en charge par le budget de la Fac ;

·        Affranchissement de courriers par la Fac pour la collecte de fonds pour ces associations ;

·        10.000 euros de frais mensuels pour Pierre LUNEL (éclatés en plusieurs postes budgétaires, pour la discrétion) ;

·        Carte de crédit de LUNEL pour s’offrir le dimanche des surgelés Picard ou du bon vin de l’Hérault où se trouve la maison de campagne du monsieur.

Citoyens : méfiez-vous des « belles âmes ».

Alexandre Anizy

Redoutable communication non verbale

Publié le par Alexandre Anizy

Les hommes politiques ont beau le savoir : ils ne peuvent pas  retenir ou masquer tous les éléments de  la communication non verbale qui contredisent leurs paroles ou qui signalent un malaise de l’individu.
Prenons un exemple récent.

Marie-Ségolène ROYAL déclare le dimanche 25 mars 2007 à l’émission « Grand Jury RTL – Figaro – LCI » : « La régularisation (des sans papiers, c’est nous qui précisons) doit suivre la scolarisation ». Autrement dit, les enfants sans papiers en obtiennent automatiquement s’ils sont scolarisés. Elle semblait inclure dans ses propos les parents et les grands-parents.
François HOLLANDE, le compagnon de Madame ROYAL (et non pas l’époux), recadre la candidate du PS, sa bien-aimée, dès le lundi matin : « Le PS n’envisage pas de régularisation automatique (…). Mais cette scolarisation est un des critères permettant l’obtention des papiers ». On comprend bien que la partition jouée n’est pas la même.

 
Mais ce qui était vraiment intéressant, c’était, au moment où il prononce ces mots, les gestes de François HOLLANDE que tout le monde a pu voir à la télévision : d’abord, il semble gratter le sommet de son appendice nasal, puis il se pince les narines.

Tout le monde connaît le lien symbolique entre le nez et le sexe. On peut donc interpréter le premier mouvement de Monsieur HOLLANDE comme une gêne devant l’exposé publique d’une mésentente supposée ou réelle dans sa sphère privée. L’interprétation du deuxième mouvement est plus évidente : « cette correction nécessaire qui m’incombe ne « sent » pas bon »...
Elle souligne en effet une "légèreté politique" de Madame ROYAL.

Alexandre Anizy

Marie-Ségolène ROYAL juste parfum de Vichy

Publié le par Alexandre Anizy

Le programme de cette femme politique peut se résumer à la défense de ces 3 valeurs : Travail, Famille, Patrie. C’étaient aussi la devise du Maréchal Pétain à Vichy.

Il se trouve que Florian ROYAL, le grand-père, était un farouche partisan de PETAIN, et que Jacques ROYAL, le père (catholique pur et dur, semble-t-il) fut un lieutenant-colonel de l’armée française, qui ne cachait pas ses sympathies pour l’OAS : il aurait voté pour l’extrême droite en 1965, i.e. Monsieur TIXIER-VIGNANCOURT.

Marie-Ségolène ROYAL a vécu en Lorraine (née en 1953 au Sénégal, elle n’y arriva qu’au début des années 60) dans une maison bourgeoise de 10 pièces sur 3 étages, avec garage, cour intérieure, jardin en contrebas de l'autre côté de la rue : c'est un ancien pavillon de chasse du duc de Lorraine, qui classe la famille ROYAL parmi les notables.

Quand elle vit en Martinique, Marie-Ségolène ROYAL va aux Couvents (école privée d’excellente réputation) ; en Lorraine, elle va à l’Institution Notre Dame d’Epinal. Force est de constater que cette femme politique est personnellement qualifiée pour parler de l’école publique.

Elle a quitté son statut d’étudiante pour entrer dans le cénacle de l’ENA : l’Elysée l’attend déjà à sa sortie… Marie-Ségolène ROYAL peut parler des gens pauvres et les défendre, parce qu’elle les a beaucoup fréquentées : c’est une évidence, n’est-ce pas ?

 
Si la « douce Madonne » séduit beaucoup de français, le Duce en jupon déçoit beaucoup ses employées ou ses collègues : lisez les livres de son ancienne assistante parlementaire et de Monsieur Eric BESSON.
Parce que c’est aussi une Mère, Marie-Ségolène ROYAL sait que pour éduquer les jeunes français, il faut rétablir un Service Civil ou Militaire optionnellement. Pour former les mineurs délinquants, le militaire est le maître qui convient.

C’est pourquoi le socialisme de Madame ROYAL nous fait penser à celui de Marcel DEAT, le « collabo » qui adorait les uniformes : il soutenait PETAIN  lui aussi.

MITTERAND a travaillé à Vichy sous PETAIN : il a même été décoré de la francisque par le Maréchal. Il devait y côtoyer des gens honorables, comme Monsieur BOUSQUET par exemple, utiles pour son avenir de jeune Rastignac. Ce n’est que beaucoup plus tard qu’il découvrit le socialisme et qu’il s’empara du Parti éponyme. C’est dire que Marie-Ségolène ROYAL, quand elle se  décida pour la carte du PS en 1978, retrouvait un milieu naturel où les affinités sont sélectives.

Alors aujourd’hui, il faut expliquer à Madame PARISOT et ses ami(e)s, à tous les Emigrés (fiscaux ou autres) : n’ayez pas peur !

Parce que si Dame ROYAL s’empare de la Toison présidentielle, les affaires reprendront, comme en 1983 : une année qui marqua la revanche historique du capital sur le travail. Et s’il le faut, pour le bien des gens évidemment, elle saura par atavisme diriger le pays à la schlague.

Alexandre Anizy

 

 

 

Une Administration Judiciaire nommée par l'oligarchie

Publié le par Alexandre Anizy

La nomination de Monsieur Vincent LAMANDA au poste de Premier Président de la Cour de Cassation est l’ultime ( ?) marque de la mainmise de l’oligarchie conservatrice (par opposition à la "réformatrice") : il présente en effet toutes les garanties, puisqu’il doit sa carrière à son talent de juriste, bien sûr, et à ses premiers pas professionnels dans les cabinets ministériels des Gardes des Sceaux LECANUET et PEYREFITTE.

Monsieur Vincent LAMANDA est aussi un homme habile : il a su faire une campagne efficace et discrète, quasi électorale, quand son adversaire Monsieur Bruno COTTE, réputé à gauche, négligeait (dit-on) certaines bienséances ; Monsieur Vincent LAMANDA a montré au moment opportun qu’il savait avoir de l’audace, lorsqu’il fut l’auteur du rapport accablant sur le juge Jean-Paul RENARD (vous savez bien : le franc-maçon niçois rejeté par ses pairs – mais après combien d’années de service ?).

On notera aussi que Monsieur Jean-Claude MAGENDIE va devenir le Premier Président à Paris (après avoir viré récemment Monsieur Philippe HERALD : l’élégance ne serait-elle plus de mise dans la magistrature ?) ; il rejoindra, en quelque sorte, le procureur général Monsieur Laurent LE MESLE  (ancien conseiller juridique de l’Elysée sous CHIRAC, ancien directeur de cabinet de Messieurs les ministres PERBEN puis CLEMENT).

Depuis 2002, sur 36 postes de procureurs généraux, 26 ont changé de têtes : seuls 2 d’entre eux seraient considérés proches de la gauche.

L’administration judiciaire est une forteresse aux mains de l’oligarchie conservatrice : il semble que Monsieur Bruno COTTE vienne de le découvrir avec amertume.

Gare du Nord, Cimetière de Lille et Probabilité

Publié le par Alexandre Anizy

Gare du Nord, Cimetière de Lille et Probabilité

Alors que la police italienne savait depuis mi-2006 que Cesare Battisti était réfugié au Brésil, alors que la police française semble en avoir été informé en 2006, son arrestation médiatisée ne s'est faite qu'à 5 semaines du 1er tour des élections présidentielles : le débat présidentiel était ainsi recentré sur le terrain de l?insécurité. C'est un fait.
Alors que beaucoup de policiers étaient très vite sur place, les « violences de la Gare du Nord » ont duré longtemps ? « Je me demande si elles n?ont pas été provoquées ? (?) Je suis dubitatif. » déclare Monsieur Claude Allègre au journal « le parisien » du 1er avril 2007.
Nous aussi, Monsieur le ministre, nous sommes dubitatifs.
Nous laissons aux naïfs le droit de croire à la spontanéité des bandes de casseurs autonomes  (souvenez-vous  de la fin des années 70 et des "autonomes").

Dimanche 1 avril, c'est la profanation de tombes dans un cimetière de Lille. On obtient dès le lundi par exemple : quasi pleine page à Libération, journaux de Télématin et 13 h de France 2, le 12-13 de France 3, 1/12ème de page dans le Figaro.

Ces faits "sécuritaires" agissent dans le même sens : "Chaque fois qu'il est question de la sécurité, du patriotisme, de l'armée, c'est la droite et l'extrême droite qui en profitent". Claude Allègre, le Parisien du 1 avril 2007.
Ces observations sont exactes.

Il n'est donc pas déraisonnable de penser que nous allons assister dans les 3 prochaines semaines à une propagation "naturelle" des faits "sécuritaires". Après l'arrestation du vieux terroriste italien reconverti dans le polar, les violences de la Gare du Nord, la profanation des tombes dans le cimetière de Lille, vous n'échapperez probablement pas, dans le désordre, à :

l'agression honteuse d'une personne âgée ;
l'agression odieuse  d'un  enfant  ; 
le voyou  en  liberté conditionnelle qui récidive gravement ;
la "nuit d'émeute" dans une banlieue.

Nous pouvons faire confiance au ministre BAROIN le fils du Grand Maître franc-maçon pour communiquer rapidement les informations pertinentes aux médias importants, i.e. les amis de Monsieur SARKOZY de NAGY BOCSA (Lagardère, Bouygues, Dassault, de Carolis).

 
Alexandre Anizy

SARKOZY de NAGY BOCSA et le "diamant"

Publié le par Alexandre Anizy

Nicolas SARKOZY de NAGY BOCSA : le diamant de la Jatte

Longtemps Monsieur Nicolas SARKOZY de NAGY BOCSA nous aura fait croire qu’il connaissait les pauvres gens : n’était-il pas le fils d’un immigré hongrois quasiment sans le sou ? Aujourd’hui encore, il se donne des airs d’enfant qui a surmonté les épreuves d’une vie difficile et qui s’en est sorti grâce à son talent forcément inné et à son travail.
Rien n’est moins sûr.

Longtemps Monsieur Nicolas SARKOZY de NAGY BOCSA nous aura fait croire qu’il était gaulliste, comme son mentor. Mais en parfait politicien, il tourna casaque pour enfourcher en 1993 le mulet balladurien portant l’étendard libéral, qui claquait partout sur les toits des palais européens.

Pour M. Jean-François KAHN, « Nicolas le petit César » serait un représentant d’une tradition française : la droite possédante traître à sa patrie (cf. les bullocrates, Fayard).

Longtemps Monsieur Nicolas SARKOZY de NAGY BOCSA nous aura fait croire que l’enrichissement des élus était un mythe, un argument populiste de propagande. Aujourd’hui, il cherche désespérément toutes les factures de son duplex et il s’indigne en déclarant qu’en France, dès qu’un homme politique émerge, on le salit par des procédés ignominieux.

Mais dans notre beau pays, nous avons heureusement un vilain petit canard, dont l’indépendance financière lui assure la liberté de ton et d’investigation.

C’est ainsi que nous savons maintenant que lors de l’achat de son duplex de l’île de la Jatte, Monsieur le maire Nicolas SARKOZY de NAGY BOCSA a bénéficié d’un cadeau du principal promoteur de Neuilly sur Seine (qui est le seul bétonneur à avoir obtenu de la part des autorités locales une ristourne sur la ZAC de la Jatte…) d’au moins 300.000 euros.

En revendant cet appartement en 2006, Monsieur Nicolas SARKOZY de NAGY BOCSA a réalisé la plus-value forcément exceptionnelle : c'est une sorte de diamant qui révèle la pureté de l’homme.

Alexandre Anizy

P.S. : citoyens, achetez tous les mercredis « le canard enchaîné » ! Vous soutiendrez ainsi directement un média libre.