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notes politiques

L'Irlande se jette à l'Eau-rope

Publié le par Alexandre Anizy

Pour obtenir enfin le « oui » de l’Irlande, l’Union Européenne n’aura reculé devant rien, lui octroyant notamment des aménagements au Traité : respect de certaines spécificités comme l’interdiction de l’avortement, neutralité militaire, fiscalité avantageuse. Sans compter les millions d’euros apportés au personnel licencié de Dell par le Président de la Commission Barroso. Tous les moyens furent bons pour amadouer le Tigre irlandais blessé.

 

Car ce pays est dans une situation économique catastrophique : baisse de 3 % du Produit Intérieur Brut (PIB) en 2008, prévision d’une chute de 8 % en 2009, avec un taux de chômage de 15 % et un déficit de 13 points de PIB, et encore 3 % en 2010, avant un éventuel redressement en 2011.

Les plans de rigueur s’enchaîneront, mais la désastreuse stratégie de développement fondée sur le dumping fiscal ne change pas : chaque année, l’Irlande paie environ 20 % de son PIB aux détenteurs étrangers de ses bureaux et usines, ainsi que des taux d’intérêt élevés pour un pays de l’euroland. Cette anomalie signifie que les marchés envisagent une banqueroute … ou une explosion de l’union monétaire.

 

La peur du chaos économique fut bel et bien le facteur décisif dans ce vote massif (plus de 67 % de oui). Mais en se jetant à l’Eau-rope, l’Irlande ne replonge-t-elle pas dans ses travers ?

 

 

Alexandre Anizy

 

Un Etat gangréné ?

Publié le par Alexandre Anizy

Grâce à une loi d’origine parlementaire votée en catimini le 12 mai 2009, après 10 mois de travail, la secte de la Scientologie ne pourra pas être dissoute, puisque la peine de dissolution d’une personne morale en matière d’escroquerie.

Hormis le Garde des sceaux Michèle Alliot-Marie, qui peut croire à une erreur matérielle ?

 

« Il faut trouver le porte-plume », demande avec véhémence le député Jean-Pierre Brard, tant il semble convaincu que cette secte aurait infiltré la chancellerie.

Mais hier, en regardant le président de la commission des lois, le député Jean-Luc Warsmann au visage rondouillard et jovial, qui nous racontait que les contestataires ne sont pas sérieux, nous nous interrogions : qui sont les vrais farceurs ?

 

En admettant qu’une commission d’enquête soit créée, une de plus, nous doutons qu’elle révèle l’identité de l’auteur scélérat.

 

Alexandre Anizy

 

Des socialistes voyous ont pris le pouvoir au PS

Publié le par Alexandre Anizy

Vous connaissiez les patrons voyous, bien sûr. Certains vont découvrir ces jours-ci que des socialistes voyous ont le pouvoir au Parti Socialiste.

 

En effet, dans un livre qui sort en librairie, il est dit que la victoire du clan de la social-traître Martine Aubry, ô combien contestée en son temps, repose en partie sur une tricherie électorale, dont même la madone Déate Marie-Ségolène Royal semble ignorer l’ampleur.

 

Comment peut-on en arriver à ce point de putréfaction ? Les travaux de Rémi Lefebvre, professeur à l’université de Reims, apportent les premières réponses :

« [le PS] est un parti vieillissant qui compte un grand nombre de retraités et beaucoup de fonctionnaires des collectivités locales. » (1) ;

« C’est ce lien essentiel et professionnel qui les retient à l’organisation. » ;

« La professionnalisation des militants du PS est un phénomène plus récent. (…) Un nombre de plus en plus important de ses adhérents vivent de et pour la politique. » ;

« Ce système endogamique fonctionne en vase clos, dans un milieu social fermé, entre personnes liées par des intérêts professionnels et politiques qui se confondent. »

 

Tout est dit : lorsque des hommes et des femmes sont soumis à une double sujétion (à la base du système, on a le militant-employé communal subordonné à un employeur-chef de section du parti), tout devient possible puisque les « patrons politiques », à tous les niveaux de la chaîne de commandement, disposent des moyens de pression psychologiques et financiers pour asseoir et conforter leurs dominations.

Alors on commence à tricher entre soi … et, dans les cas extrêmes, on finit par voler le peuple comme à Hénin-Beaumont.

 

Emmanuel Todd évoque dans son livre « après la démocratie » (Gallimard, 262 pages, 18,50 €) un « carriérisme cynique » en parlant de la promotion du social-traître Pascal Lamy à la tête de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC), ou bien de celle du désinvolte ami des patrons du CAC 40 Dominique Strauss-Kahn à la tête du Fonds Monétaire International (FMI), mais n’est-ce pas la cause même de l’adhésion d’un grand nombre de dirigeants actuels du PS ?

 

Aujourd’hui, nous pensons à ces vieux militants qui ont créé le PS dans les années 70 : ils doivent savoir que les ordures présentes n’entacheront jamais leur travail passé.

 

 

Alexandre Anizy

 

(1) : entretien dans le Monde du 27 août 2009                           

La tribune insensée de Martine AUBRY pour La Rochelle

Publié le par Alexandre Anizy

Que le niveau baisse au PS, qui le contestera après avoir lu la tribune signée par Martine Aubry dans le Monde du 28 août en guise d’introduction à « l’université » d’été de La Rochelle ?

 

Nous ne savons pas qui a réellement écrit cet article (il paraît que les hommes politiques d’envergure – ce qu’est la fille du social-traître Jacques Delors - ne rédigent pas leurs discours et autres interventions), mais il aurait pu nous épargner cette faute grammaticale :

« Généraliser les possibilités de formation, de reconversion ou d’actions d’intérêt collectif : ce chantier est demain, pour le monde du travail, à l’échelle de ce que furent l’école sous la IIIème République et la Sécurité sociale à la Libération. »

Il nous semble que le futur (« ce chantier sera demain ») eût été préférable, n’est-ce pas ? Commençons donc par suggérer pour l’auteur une formation générale de « Français » dans l’école de la Vème République. Puis essayons d’interpréter cette faute inattendue chez « l’élite républicaine ».

Il est possible que l’auteur ait réellement voulu dire cette expression oxymorique : [aujourd’hui] est demain. Dans ce cas, nous rappelons que la transposition d’un argument de science-fiction dans le domaine de la politique n’aboutira qu’à une manifestation réelle du vide intersidéral, à savoir la déroute électorale.

Il est possible aussi que l’auteur ait lâché inconsciemment sa perception immédiate des choses, à savoir que « son chantier de demain » existe déjà aujourd’hui … Dans ce cas, où est la différence avec la droite ?

 

Concernant les éléments de langage (comme on dit à l’Elysée), nous suggérons au Secrétaire Général du PS de ne pas abuser de concepts aussi fumeux que « postproductivisme », « avenir postmatérialiste », d’autant plus qu’en matière de « poste », le PS a opté pour la privatisation depuis belle lurette ! (une conséquence inéluctable du « marché intérieur européen » recommandé par le social-traître Jacques Delors dès 1986)

De plus, si Martine Aubry invoque à 2 reprises « la France qu’on aime », nous lui recommandons de dire plutôt « je » ou « nous » : en politique, le « on » est-il convenable ?

 

Venons-en aux valeurs défendues par le PS, car « 2012 sera [le combat] des valeurs » :

« Je revendique, comme horizon de ce nouveau modèle de développement, une civilisation de dignité. » :

Sarkozy en dira autant sans s’étrangler (ni ses amis milliardaires) ;

« répartir mieux pour sécuriser l’emploi et mobiliser chacun est une règle forte et juste » :

Sarkozy raillera sans peine les vieilles lunes de la répartition socialiste et surfera éventuellement sur les efforts nécessaires pour la sécurité face à un choc de civilisation ;

« A quand les conseils d’administration ouverts aux travailleurs et à la parité femmes / hommes ? » :

Sarkozy fera valoir que les conseils d’administration sont déjà ouverts aux représentants des travailleurs, et qu’en matière de parité il a fait plus en 5 ans que les socialistes en 20 ans ;

« Il s’agit d’inventer un Etat capable de prévoir et d’agir à temps » :

Sarkozy prétend déjà le faire en le « réformant » ;

« définir une croissance sélective pour produire utile, sobrement et proprement » :

n’est-ce pas le discours du Grenelle de l’environnement orchestré par Sarkozy ?

 

Arrêtons-là l’inventaire de Martine Aubry ! On croirait lire le futur catalogue de Sarkozy !

 

 

Pour conclure, revenons sur le slogan de l’article : une offensive de civilisation. En effet, dans le texte, Martine Aubry insiste sur « la panne de civilisation », « une civilisation de la dignité », les « enjeux de civilisation ». Le problème : elle a oublié (vraiment ?) que le Président ubiquiste Sarkozy de Nagy Bocsa avait déjà enfourché ce cheval de bataille. « Il faut inscrire la politique dans la longue durée et dans la profondeur d'un projet de civilisation », disait-il en janvier 2008.

 

Pour Martine Aubry qui se veut un tantinet combattante, à ce niveau la bêtise est pathétique.

 

 

Alexandre Anizy

Afghanistan : le déshonneur en prime ?

Publié le par Alexandre Anizy

La mascarade électorale n’a trompé personne. A peine dépouillé, le scrutin est vivement contesté par Abdullah Abdullah, le rival mais aussi l’ancien ministre du président candidat Hamid Karzaï, ex collaborateur de la CIA.

Pouvait-il en être autrement, quand on sait qu’après la campagne d’inscription sur les listes électorales, le pays comptait 17 millions d’électeurs, alors que les statistiques officielles donnent environ 12 millions de personnes de plus de 18 ans ?

En Afghanistan, comme ailleurs, le pouvoir est une drogue dure. En la matière, ce pays, 1er producteur mondial de pavot, n’en ignore rien, y compris le président Karzaï.

 

Dans le bourbier afghan, qui peut croire encore que les Américains persistent à s’incruster pour rétablir la démocratie ? Ne parlons pas de leur « lutte contre le terrorisme » qui se solde par la liberté pour Ben Laden et le retour en force des talibans, comme le déclare l’amiral Mike Mullen, chef d’état-major interarmées américain : « Je pense que [la situation] est sérieuse et se détériore. »

En juillet, 44 soldats américains tués : c’est un record depuis 2001.

 

Pourtant, il existe des gens en France comme l’ex pachyderme socialiste Claude Allègre, qu’une « solidarité sans faille avec les Etats-Unis en Afghanistan » ne rebute pas. (Aujourd’hui 23 août 2009). Dans cette bataille qui n’est pas entièrement la nôtre, nous pouvons y perdre beaucoup, même l’honneur.

 

 

Alexandre Anizy

 

2012 : les amis de SARKOZY aident le franc-mac Manuel VALLS

Publié le par Alexandre Anizy

Avez-vous remarqué ce fait troublant ?

Dès que le franc-mac Manuel Valls bouge le petit doigt ou bien cherche un micro pour répandre sa bonne parole, aussitôt les organes de presse qui appartiennent aux amis de Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa se font un devoir de reproduire les propos ou les gestes du Grand Maire d’Evry : les titres de la famille Lagardère (notamment le JDD), le Figaro de la famille Dassault, l’Express dirigé par Christophe Barbier (ami d’une bergère italienne), le Point (voir le numéro du 13 août 2009), Libération de Rothschild et du milliardaire philosophe Bernard-Henri Lévy, etc. 

 

Or, qui est le franc-mac Valls ?

Le patron d’une fédération socialiste ? Non.

Un membre de l’exécutif du Parti Socialiste ? Non.

Le leader d’un courant constitué dans le Parti ? Non. 

Alors, qui est-il ?

Un député-maire d’une petite ville nouvelle.

Que représente-t-il politiquement ?

Rien.

Que doit-il devenir selon son auguste personne ?

Tout.

 

Pour 2012, avec un concurrent de ce faible acabit (s’il ne l’est pas, il aura été et il sera toujours assez nuisible pour le candidat définitif), les amis du Président ubiquiste Sarkozy de Nagy Bocsa ont bien compris que rien ne changera … 

 

Alexandre Anizy

"Fakirs" d'Antonin VARENNE

Publié le par Alexandre Anizy

"Fakirs" (1) est le troisième roman policier d’Antonin Varenne, mais le premier publié par l’éditrice de Fred Vargas.

 

Cet auteur sait indéniablement construire ses récits, définir les caractères, soigner le style. Nous nous sommes délectés de son histoire. Cependant, notre réticence pour une recommandation sans réserve provient d’une impression ténue d’imitation vague du commissaire Adamsberg dans le Guérin azimuté de Varenne, ce qui gâcha notre plaisir. 

 

Puisque Varenne a du talent, qu’il ne s’enfuit pas … dans la manière d’une autre.

 

 

Alexandre Anizy

 
(1) : éditions Viviane Hamy, avril 2009, 284 pages, 17 €   

Bilan carbone pour ROCARD l'idiot utile

Publié le par Alexandre Anizy

A Michel Rocard l’idiot utile, ancien inspecteur des Finances sous addiction à la taxe fiscale, le peuple ingrat devait déjà la CSG : un impôt temporaire vite pérennisé ; il lui doit aussi le RMI, cette aumône qui écarte quasi définitivement les plus démunis d’un emploi socialement décent.

Ces jours-ci, il vend une taxe carbone.

 

Ce pseudo socialiste a donc passé sa vie politique à asphyxier les pauvres pour donner de l’air aux riches : ce n’est pas l’historien Jacques Marseille qui nous contredira.

 

Aujourd’hui, à ce stade (de l’incapacité), qui bottera le cul de ce tartufe pour une mise en retraite (salutaire pour le peuple) ?

 

Alexandre Anizy

Mort du PS (V) : vers une agonie cruelle selon Zaki LAÏDI

Publié le par Alexandre Anizy

Dimanche dernier, le milliardaire philosophe Bernard-Henri Lévy, parce qu’il sait et qu’il en a les moyens, venait à peine de se placer au milieu de la piste du cirque médiatique avec son appel à la mort du Parti Socialiste, que le secrétaire général de l’Elysée Claude Guéant en prenait aussitôt la défense ! Or, chacun sait que si votre ennemi politique vole à votre secours, cela signifie que vous lui êtes plus utile moribond que mort … Ce « soutien » de l’Elysée confirme notre analyse : plus que jamais, le Parti Socialiste sera utile à l’oligarchie en agonisant lentement.

 

C’est ce que disait aussi Zaki Laïdi dans un article antérieur à celui du milliardaire philosophe : « [la défaite électorale du PS aux européennes] marque l’aboutissement d’un long processus d’affaiblissement rendant sa survie incertaine. Certes, le risque d’une mort subite est très faible. Mais cela ne rendra paradoxalement l’agonie que plus cruelle. » Précisant immédiatement : « Celle de la SFIO qui mit 15 ans à disparaître comme force politique nationale tout en continuant à prospérer dans ses fiefs locaux. »

 

C’est ce que nous allons voir, nous dit Zaki Laïdi, puisque le PS est d’ores et déjà dans une double dynamique : la balkanisation, i.e. l’émancipation des barons provinciaux (comme les francs macs Rebsamen et Collomb, par exemple), et la bunkérisation, i.e. un enchaînement de pseudo-rénovations « qui ne visent en réalité qu’à garantir la survie d’un appareil aux abois ». 

Zaki Laïdi concluait ainsi : « (…) l’enjeu n’est plus de savoir comment sauver le PS mais de faire en sorte que sa survie ne contrarie pas l’émergence d’une gauche moderne et forte ».

Bref, un papier beaucoup plus intéressant et utile à la gauche que la rodomontade du milliardaire philosophe Bernard-Henri Lévy, qui apparaît de plus en plus pour ce qu’il est : un véritable ennemi de classe. 

 

 

Alexandre Anizy

 

 : le Monde du 8 juillet 2009.

 : nom de l’ancêtre du PS

Que le PS meure (IV) dit Bernard-Henri LéVY un perfide ennemi de classe

Publié le par Alexandre Anizy

Quelle mouche a piqué (un sage utilitariste dirait simplement : quel intérêt incite etc.) le milliardaire philosophe Bernard-Henri Lévy pour qu’il prône la disparition du Parti Socialiste dans le JDD, car depuis des lustres, le chevalier blanc de l’humanitarisme atlantiste veillait à se tenir au-dessus du marigot radical-socialiste ?

 

Si on retient l’analyse du milliardaire philosophe, son appel à « l’éléphanticide » ne porte pas à conséquence, puisque « le PS va mourir ? Non. Il est mort. Personne, ou presque, n’ose le dire. ». En mettant sa plume dans l’explosif germanopratin, l’intrépide B-HL pratique en fait une maïeutique sommaire, fidèle à sa conception guerrière de la discussion médiatique.

Il semble convaincu d’être ainsi le père de l’acte initiateur … et il le fera savoir dans ses journaux, ou ceux de ses nombreux amis. Pire : il pense qu’il agit pour le bien de la gauche, car comme le disait Maurice Clavel, une « figure de la gauche morale » qu’il cite : « pour vaincre la droite, il faut d’abord briser la gauche ».

Sans référence donnée, nous supposons que cela concerne la période où le Résistant Clavel fricotait avec les guignols de la « Gauche Prolétaroïde » de la rue d’Ulm.

 

Objectivement, le milliardaire philosophe Bernard-Henri Lévy apporte sa contribution au discrédit de ce parti de notables provinciaux, servant ainsi les intérêts de sa classe sociale représentée brillamment par Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa. Il le fait d’autant mieux qu’il avance les noms de « la gauche de demain, la gauche moderne et réinventée » : la madone Déate Marie-Ségolène ROYAL, le désinvolte mondialiste Dominique Strauss-Kahn (si prévenant avec ses collaboratrices), le franc mac Manuel VALLS … Que du beau monde !

 

Le milliardaire philosophe se veut le chantre de la gauche morale, celle qui bouffe du caviar en faisant la leçon d’humanisme aux gens de peu, celle qui a pollué la gauche par une idéologie réactionnaire, littéralement réactionnaire, en paraphrasant B-HL, le perfide ennemi de classe.

 

Alexandre Anizy

 

 : Journal du Dimanche, appartenant in fine à Arnaud Lagardère, le « frère » du président ubiquiste Sarkozy de Nagy Bocsa, 19 juillet 2009.

 : expression uniquement due à sa « fameuse » chemise.

 : B-HL aurait-il lu notre blog, notamment les notes titrées « Que le PS meure », lui l’homme de médias qui vient de décider d’investir Internet ? (message personnel à Joseph Macé-Scaron : ceci est aussi de l’humour)

 : on eût apprécié plus de précisions (une date, un support, par exemple)

 : i.e. les maos français, Benny Lévy et sa clique stalinienne.

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